Dans le contexte du sujet de la conférence, Aziz Bin al-Talib, professeur et chercheur à l’unité d’études environnementales de l’Institut, a présenté des données détaillées sur les pressions croissantes que les ressources en eau au Maroc connaissent à la suite de la sécheresse répétée, des changements climatiques, de l’expansion urbaine et du capitalisme croissant.
Le chercheur a expliqué que le Royaume a adopté une politique pré-détendue pour gérer ces défis auxquels est confrontée les crises, en mobilisant les ressources de surface en construisant des barrages et en traitant les eaux usées, ainsi que la création de centrales de dessalement d’eau de mer, qui atteignit les limites de 16 stations qui produisent environ 277 millions de mètres cubes annuellement, avec une ambition pour atteindre 1,7 milliard de mètres cubiques dans l’horizon de 2030.
Bin al -talib a souligné l’importance d’une distribution équitable et rationnelle de l’eau entre les différentes régions du royaume, appelant à l’adoption d’une approche sur le terrain qui atteint une solidarité entre les zones côtières riches en eau et les zones internes, en particulier les OAST, qui sont confrontées à de réels défis dans la fourniture d’eau potable et d’irrigation.
Le chercheur a également appelé à accélérer le téléchargement du National Water Plan 2020-2050, avec la nécessité de préserver les ressources en eau et de rationaliser leur consommation à travers des mesures et des mesures durables.