Le Premier ministre français Sebastian Lunurno a soumis sa démission aujourd'hui, lundi, au président Emmanuel Macron, selon ce que le palais d'Elysee a annoncé dans un communiqué, approfondissant la crise politique du pays.
Lukurno, un ancien ministre blindé, a été critiqué par des adversaires après avoir révélé dimanche soir sa formation gouvernementale, qui est la troisième du pays en un an.
Macron a attribué à Luturno le neuvième septembre, composé par un nouveau gouvernement, après que l'Assemblée nationale ait bloqué la confiance du gouvernement de François Bayro dans le contexte de son budget d'austérité du projet de lancement qui a rencontré une large opposition au Parlement divisé entre les courants politiques français, sans aucun d'entre eux étant une majorité explicite.
Les différences du gouvernement ont déjà renversé Bayro ainsi que son prédécesseur Michel Barnier.
La dette publique française a atteint des niveaux record, selon les données officielles la semaine dernière. Le pourcentage de la dette publique au PIB en France est devenu le troisième taux le plus élevé en Europe après la Grèce et l'Italie, et deux fois le pourcentage de 60%, ce qui est le maximum autorisé selon les règles de l'Union européenne.
L'équipe gouvernementale a annoncé par Elysee dimanche soir le retour de Bruno Lomer en tant que ministre des Armées, après avoir pris le poste de ministre de l'économie de 2017 à 2024.
Roland Loskour a été nommé ministre de l'Économie et il était censé tomber sur la tâche ardue de développer le projet budgétaire.
De nombreux ministres du gouvernement précédent ont conservé leurs bagages tels que le ministre des Affaires étrangères, Jean -Nawil Barrow, le ministre de l'Intérieur Bruno Rotayo, qui s'est engagé à combattre l'immigration irrégulière, et le ministre de la Justice Gerald Darmanan. De plus, Rachida Dati, qui sera jugé l'année prochaine pour corruption, est resté au sein du gouvernement en tant que ministre de la Culture.
La France souffre d'une profonde crise politique depuis que Macron risquait en appelant à des élections législatives précoces l'année dernière dans le but de renforcer son autorité.
Cependant, cette étape a abouti à un parlement fragmenté entre trois blocs parlementaires en querelles.