Un tribunal néerlandais a jugé qu’il n’était pas permis de retirer la citoyenneté néerlandaise d’un oold de 38 ans qui a augmenté à Amsterdam et détient les nationalités néerlandaises et marocaines, après avoir été reconnu coupable de cas terroristes dans le passé.
La Cour a examiné que la baisse de sa nationalité néerlandaise constitue une violation de la Convention des Nations Unies contre la discrimination raciale, car elle conduit à une discrimination injustifiée entre les citoyens néerlandais avec une seule nationalité et ceux qui détiennent une double nationalité, qui viole les obligations internationales des Pays-Bas.
D’un autre côté, la loi néerlandaise accorde au ministre d’État à la Justice et à la Sécurité, l’autorité de retirer la citoyenneté de toute personne condamnée dans des questions terroristes, à condition qu’elle ne devienne pas inconsciente, et comme certains pays, comme le Maroc, ne permettent pas l’abandon volontaire de leur nationalité est ce qui s’est passé avec le citoyen retiré de la citoyenneté néerlandaise par une décision ministérielle, où il est né aux Pays-Bas et est resté marocain, puis il a obtenu la citoyenneté néerlandaise à l’âge de neuf ans, et en 2018, il a été reconnu coupable de cinq ans de prison et de quatre mois pour des accusations terroristes, avant d’être libérée plus tard.
La Cour a souligné que le facteur décisif dans cette discrimination n’est pas la duplication de la nationalité, mais l’origine ethnique et géographique, car les individus sont traités différemment en fonction des lois nationales de leurs pays d’origine, et non en fonction de leurs nationalités néerlandaises. Le tribunal a déduit un exemple de trois personnes condamnées pour le même crime terroriste, car le Néerlandais qui a une nationalité ne perd pas du tout sa nationalité, tandis que le Néerlandais marocain perd automatiquement sa nationalité néerlandaise, tandis que le Turc Néerlandais a la possibilité de garder sa nationalité néerlandaise s’il abandonne sa nationalité turque, et la cour a considérée que cette répartition représente une discrimination fondée sur le but, qui contribue à cette répartition.
Sur ces fondations, le tribunal a annoncé que la décision juridique sur laquelle la décision de retirer la citoyenneté n’est pas applicable, adoptant le poste du cours spécial des Nations Unies concernant le racisme, qui a déjà averti que ces pratiques représentent une discrimination illégale sur la base de l’origine nationale. Le tribunal a également annulé la décision de déporter et d’empêcher l’entrée pendant 20 ans, qui a été émise conjointement avec la projection de la citoyenneté, comme illégale.