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Le pouvoir judiciaire algérien est condamné à 5 ans de prison

Le pouvoir judiciaire algérien est condamné à 5 ans de prison


Science – agences

Aujourd’hui, jeudi, le tribunal de Casablanca Casablanca en Algérie a prononcé une peine de cinq ans de prison, avec application contre l’écrivain français-algérien Boualam Sankal, qui a été arrêté depuis novembre, pour plusieurs accusations, notamment « préjudice à l’unité de la patrie ».

Selon le verdict de l’affaire, le tribunal « a » condamné à une présence primaire sur Sankal Boualam dans l’emprisonnement de 5 ans et une amende de 500 000 dinars « , soit environ 3500 euros.

L’accusation a exigé pendant le procès qui a eu lieu du 20 à 10 ans de prison et une amende d’un million de dinars (700 euros) pour « préjudice à l’unité du pays, insultant un corps régulier et effectuant des pratiques qui nuisent à l’économie nationale et possèdent des vidéos et des publications qui menacent la sécurité et la stabilité nationale » stipulaires dans le code pénal.

L’écrivain de 80 ans, selon Gallimar, à publier, nié pendant le procès, a nié toute intention de nuire à son pays, considérant qu’il s’agit « simplement d’une expression d’opinion, comme le fait tout citoyen algérien » et notant « son manque de conscience de ce que certaines de ses phrases » ont rapporté dans les institutions nationales « .

Son arrestation est venue le 16 novembre, au milieu d’une crise diplomatique causée par la Déclaration de Paris l’été dernier, soutenant l’application de l’autonomie dans le désert marocain, ce qui a incité l’Algérie à retirer son ambassadeur de la France, puis le président français, Emmanuel Macron, a confirmé en octobre dernier que le présent et le futur.

Avant de prononcer la décision, les analystes ont vu que le sort du Sanasal pourrait jouer un rôle décisif dans le calmant de la plus grande crise diplomatique en relations entre l’Algérie et Paris pendant des décennies, par une « condamnation réduite ou suspendue de raisons médicales » ou même une peine de prison « suivie d’une amnistie présidentielle » à la fin du Ramadan.



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