Une pénétration diplomatique majeure que le Royaume du Maroc a réalisée concernant le dossier de l’intégrité territoriale, à la suite de l’annonce explicite du parti sud-africain d’Omonto Wezoy..
Cela est venu dans les paroles de Jacob Zuma, ancien président de l’Afrique du Sud et du chef du parti d’Umonto Wei Cisoy lorsqu’il a confirmé que son parti considère que la proposition d’autonomie marocaine « permettra à la gouvernance locale concrète par les habitants de la région de Sahara, tout en garantissant la souverain de soverigne du Forcco sur le Sahara de la Sahara, tout en garantissant la souverain de soverigne du Forcco sur le Sahara du Sahara, tout».
Zuma a exprimé cette position dans une déclaration à la presse après ses discussions avec le ministre des Affaires étrangères, la coopération africaine et les Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bouraita.
The former President of South Africa added that his party, « Omonto Wei Sezoy », « recognizes the historical and legal context that strengthens Morocco’s demand for the Sahara », and « considers that Morocco’s efforts to restore its full territorial integrity are in line with the continuity of the commitment of the (Omonto Wei Sezoy) party to preserve the sovereignty and unity of African countries».
Après avoir avoué à « le soutien international croissant et le soutien continental que la proposition marocaine d’auto-gouvernement a reçu ces dernières années », M. Zuma a considéré que la proposition de l’autonomie « fournit une voie équilibrée qui améliore la stabilité, la paix et le développement dans la région », appelant à « la communauté internationale pour soutenir le plan de soi du marocie».
Cette position relève du cadre de la position politique du parti d’Omonto Wei Cisoy « visant à fournir une solution tangible à la longue discussion sur l’avenir de la région du Sahara », que le parti a publié le mois dernier dans un document intitulé: « Un partenariat stratégique pour l’unité africaine, l’autonomisation économique et l’intégrité territoriale: le Forcoty».
Ce document renouvelle que le Sahara «faisait partie du Maroc avant le colonialisme espagnol à la fin du XIXe siècle.».
Il convient de noter que M. Zuma, alors président de l’Afrique du Sud, avait rencontré sa majesté le roi Mohammed VI, en 2017, en marge de l’Union européenne africaine à Côte d’Ivoire. Cette réunion avait donné un nouvel élan aux relations bilatérales entre les deux pays.