Et Bossma, qui est du parti de la « liberté » à droite, de Khairat Wilders, n’a pas expliqué s’il a suggéré l’idée sérieusement ou simplement, lors de sa rencontre avec l’ambassadeur français aux Pays-Bas, ce qui a soulevé la surprise de la présence à la réunion diplomatique.
Le journal néerlandais « NRC » a cité Boussa disant que les discussions politiques sur l’avenir de la région sont normales dans de telles réunions diplomatiques, soulignant que l’idée n’est pas nouvelle dans les cercles néerlandais de droite.
Les racines de l’idée de « Dietzland » ou de l’unification des terres néerlandaises remontent à des décennies, car elles ont été soutenues par des parties à droite telles que le « Flams Pillang » belge, qui a récemment cessé de les promouvoir.
Pour sa part, Bart de Weaver, chef du parti national flamand « N-Fa », a exprimé son ancien soutien à cette proposition, comme il a déclaré il y a quatre ans qu’il rêve d’une journée où tous les orateurs néerlandais vivent dans un seul pays.
Les observateurs notent que ces idées restent dans le cadre de la spéculation politique, car elles ne reçoivent pas une grande attention populaire aux Pays-Bas, tout comme les déclarations de l’ancien président américain Donald Trump sur l’achat du Groenland ou le contrôle du canal du Panama.
Cette discussion reste à faire partie d’un ancien débat politique sur l’avenir des relations entre les Pays-Bas et les régions belges des Néerlandais, à un moment où les indicateurs pratiques de cette idée sur le terrain n’apparaissent pas.