* Science électronique *
Il semble que le niveau de conscience des Marocains des dangers des changements climatiques et la réelle menace qu’il représente une augmentation notable, s’élevant à plus de 78% de la population totale, qui est la conscience qui a cristallisé devant les tests des années de sécheresse et les températures élevées avec les phénomènes climatiques qui l’accompagnent.
Ce sont les résumés de l’enquête Green Index réalisée par l’Institut marocain d’analyse des politiques, qui a été révélé le mercredi 24 septembre lors d’une conférence de presse tenue à Salé, consacrée à fournir des résultats complets pour cette enquête.
43% de l’échantillon total, qui a été inclus dans l’étude, dont 1015 personnes dépassant 18 ans, est les principales causes du changement climatique en facteurs humains, tandis que 13% d’entre eux sont attribués à des raisons naturelles et 39% pour des raisons humaines et naturelles.
Selon le sondage, dont les données recueillies entre août 2024 et mai 2025, et elles ont été conçues sur la base de la structure de la population du Maroc, tel que défini par le haut-commissaire à la planification, en prenant soin de l’équilibre entre les sexes, de la sécheresse et du manque de précipitations reste la plus grande préoccupation de l’obsession environnementale concernant la rareté des ressources en eau.
Malgré le niveau élevé d’anxiété, l’enquête susmentionnée a enregistré que les connaissances objectives sont les principales causes du changement climatique, une forme physique modérée, car 63% des participants à l’enquête ont approuvé que leurs connaissances sont modérées, tandis que 52% des répondants ont déclaré en l’absence de toute connaissance des lois applicables et des politiques environnementales.
En ce qui concerne les sources d’informations à partir desquelles les interrogateurs attirent leurs informations, les médias sociaux et la télévision occupent respectivement la tête de 33 et 27%, ce qui met en évidence le rôle clair des médias traditionnels et numériques dans la constitution environnementale des Marocains.
Les participants à l’enquête estiment que la responsabilité du travail climatique est supportée par l’articulation des familles et des individus (28%), le gouvernement (24%) et le secteur industriel (16%), en même temps qu’ils considéraient que les facteurs les plus importants qui causent les défis environnementaux sont le manque de conscience du public par (37%), et la faible efficacité des politiques gouvernementales (18%).
En ce qui concerne le pourcentage de participants aux activités environnementales organisées au cours des cinq dernières années, l’Institut marocain d’analyse des politiques a révélé qu’elle ne dépassait pas (18%), mettant en évidence les principaux obstacles dans le manque d’activités proches du lieu de logement (40%), et le temps limité (28%), tandis que 39% ont attribué son manque de participation à la forte préparation de la question et à un rendement, et à RETOUR, RETROUIL Participer à des activités environnementales à l’avenir et 28% ont exprimé une préparation moyenne.