Le journal espagnol « El Economist » a formé un nouveau témoignage sur le dynamisme économique assisté par le Maroc, soulignant que le royaume s’était imposé comme un centre industriel majeur sur les portes de l’Europe, profitant de son emplacement géographique stratégique, d’une main de travail qualifiée et d’un secteur automobile prospère.
Le journal a indiqué que l’économie marocaine se dirigeait régulièrement vers un site pionnier parmi les économies les plus fortes du continent africain, tirée par la stabilité politique et les infrastructures modernes qui lui ont permis d’attirer des investissements industriels majeurs. Au cours d’un peu plus d’une décennie, le Maroc est devenu la première source de voitures en Afrique, car l’industrie est devenue 27% de ses exportations et 16% de ses résultats intérieurs bruts, avant la communauté et les envois de fonds touristiques.
Le journal a salué la diversité des ressources naturelles que le Maroc a, du phosphate et du fer au lithium, ainsi que des secteurs de l’aviation et des voitures, qui assistent à une croissance régulière, qui a permis au pays d’entrer dans le domaine de l’industrie des voitures électriques en tant que concurrent équilibré au niveau international.
Dans un développement remarquable, El Economista a surveillé le plus grand intérêt du Maroc dans le secteur maritime, notant son ambition de saisir une part du marché monopolisé par les bassins navals en Europe du Sud et de répondre à la demande croissante des navires africains se dirigeant vers l’Europe.
Dans ce contexte, le Royaume se prépare à construire le plus grand bassin de construction navale en Afrique à Casablanca, avec un énorme investissement d’environ 300 millions de dollars, dans le but d’établir et de maintenir des navires, et de rivaliser avec les principaux bassins européens. Le projet devrait permettre la construction de 100 navires d’ici 2040, dans une décision qui reflète le désir de répéter le succès de l’expérience de l’industrie automobile.
Le journal a conclu en faisant référence à une série de mesures que le Maroc a prises pour stimuler l’industrie des constructions navales, y compris le développement de l’infrastructure des ports, dans le cadre d’une vision stratégique qui améliore sa position comme un axe commercial gratuit pour atteindre les marchés européens et américains, grâce aux accords de libre échange qui le lient.