Le Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco, réuni à Asuncion, au Paraguay, vient d’intégrer, hier mardi, le henné dans le patrimoine immatériel de l’Unesco selon une liste de 19 nouveaux éléments nécessitant une sauvegarde urgente. Seize pays arabes ont appuyé l’intégration du henné, dont le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, l’Égypte, l’Arabie saoudite et le Yémen.
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Nouvelle inscription sur la Liste du #PatrimoineImmatériel : Le henné : rituels, esthétique et pratiques sociales, ??, ??, ??, ??, ??, ??, ??, ??, ??, ??, ??, ??, ??, ??, ??, ??.
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— UNESCO en français (@UNESCO_fr) December 3, 2024
«Le henné symbolise le cycle de vie d’un individu, de la naissance à la mort, et il est présent lors des grandes étapes de la vie de celui-ci», décrit le texte de l’Unesco défendant son inscription au patrimoine immatériel.
Cette plante, dont les feuilles sont séchées, broyées, puis transformées en une pâte, est employée pour tatouer notamment les avant-bras et les pieds de femmes participant à un mariage, mais aussi à teindre les cheveux ou encore porter chance aux bébés.