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Le gouvernement marocain revoit l'accord de remplacement du permis de conduire avec l'Italie


Drapeau électronique – Rabat

Le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des relations avec le Parlement, le porte-parole officiel du gouvernement, Mustafa Paytas, a révélé lors d'une conférence de presse à l'issue de la réunion hebdomadaire du Conseil de gouvernement, les détails de l'accord conclu entre le Maroc et l'Italie concernant la mutuelle reconnaissance des permis de conduire aux fins de remplacement. Paytas a expliqué que cet accord, signé à Rome le 27 mars 2024, s'inscrivait dans le cadre du projet de loi n°38.24 présenté par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita.

L’accord vise à faciliter la circulation routière entre les deux pays grâce à la reconnaissance par chacun des permis de conduire nationaux valides et non temporaires délivrés par l’autre partie. L'accord stipule également que les permis de conduire doivent inclure toutes les informations nécessaires pour identifier le conducteur, avec l'exigence que le titulaire du permis ait l'âge légal de conduire conformément à la législation des deux pays.

Le ministre a souligné que l'accord accorde aux titulaires de permis de conduire délivrés par l'un des deux pays le droit de conduire des véhicules correspondant aux catégories de leur permis pour une période pouvant aller jusqu'à un an à compter de la date d'obtention de la résidence dans l'autre pays. Cela signifie que les nouveaux résidents de l'un ou l'autre pays, qu'ils soient Marocains en Italie ou Italiens au Maroc, pourront conduire leur véhicule pendant une période d'un an en utilisant leur permis national avant de devoir le remplacer.

L'accord confirme également que pour les citoyens qui décident de résider de manière permanente dans l'un des deux pays, ils devront remplacer leur permis de conduire par des permis de conduire similaires délivrés par le pays d'accueil, sans qu'il soit nécessaire de se soumettre à des examens théoriques ou pratiques. Une exception à cette règle concerne certains cas particuliers liés aux conducteurs ayant des besoins particuliers, pour lesquels il sera nécessaire d'effectuer des tests pratiques pour garantir que leurs capacités sont compatibles avec les exigences de conduite du nouveau pays.



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