Dit zéradi
Aziz Akhenouch a annoncé que l’intérêt pour la réforme profonde du secteur de la santé dans notre pays constitue une interface essentielle pour l’orientation gouvernementale et commence à partir de la référence sociale, qui exprime les aspirations du peuple marocain dans la réalisation de la justice sociale et de l’égalité.
Le Premier ministre a examiné lors de la session mensuelle de responsabilité pour lundi dernier à la Chambre des représentants sur la question de « le système de santé entre les réalisations et les aspirations futures » que la qualification du secteur de la santé n’est pas seulement une réforme sectorielle secondaire, mais plutôt une locomotive de base pour télécharger la vision du roi pour le futur marocnoi et pour atteindre le développement économique et social souhaité.
Incarné par cette vision ambitieuse, le gouvernement a fait de puissants efforts pour améliorer le financement nécessaire pour cette réforme, car il a été travaillé pour augmenter le budget du secteur de la santé de manière sans précédent. Il est passé de 19,7 milliards de dirhams en 2021 à 32,6 milliards de dirhams en 2025, soit une augmentation de plus de 65% lors du mandat actuel du gouvernement.
Le gouvernement a également lancé un programme visant à réhabiliter plus de 1 400 centres de santé de la nouvelle génération, avec une couverture financière de pas moins de 6,4 milliards de dirhams.
Il est prévu que ces centres contribuent à réduire la grande pression sur les hôpitaux régionaux, régionaux et universitaires, compte tenu des techniques médicales et numériques qu’ils fournissent ainsi que des équipes médicales spécialisées qui y travaillent, ce qui en fait un modèle pour fournir des services de santé pour une proximité à haute qualité.
M. Aziz Akhenouch a enregistré que parmi les objectifs pivots de la mise à niveau du système national de santé, en particulier à l’horizon de l’année 2026, progressivement relevé du nombre de travailleurs à plus de 90 000, dans le but de dépasser le seuil de 24 professionnels de la santé pour 10 000 personnes, à l’horizon de la ramenage à 45 d’ici 2030.
Pour sa part, Allal Al -amrawi, chef de l’équipe indépendante de la Chambre des représentants, considérait que le droit à la santé comme l’un des droits constitutionnels les plus importants du citoyen marocain. Et cela faisait de lui sa majesté le roi, l’un des piliers les plus importants de l’atteinte de l’État social, car il est sans précédent dans notre région arabe et africaine.
Il a décrit la phase de construction comme difficile, car le système de santé a souffert pour des années de réformes qui n’étaient pas suffisantes pour le témoignage de chacun.
Il a considéré que ce qui est nécessaire aujourd’hui est le succès de la réinstallation de la saleté de la politique nationale de santé, avec la possibilité de développer des systèmes pour stimuler les ressources humaines en fonction de la réserve et d’une manière qui permet à ces groupes de santé de créer un climat plus attractif pour les ressources humaines spécialisées, qui constitue la plus grande préoccupation dans les domaines difficiles.