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le fiancé de l’avocate française condamné à quatre mois de prison

le fiancé de l’avocate française condamné à quatre mois de prison


La Cour d’appel de Casablanca a condamné le fiancé de l’avocate française à quatre mois de prison dans le cadre de l’affaire de viol impliquant des fils de familles aisées, surnommée « Bennis-Alj-Slaoui ». Ce verdict est tombé après que l’homme a été impliqué dans la diffusion d’un enregistrement audio contenant des accusations contre un des avocats des mis en cause.

Précédemment, le tribunal de première instance avait infligé une peine de trois mois de prison à Mohamed Amin Najib, le fiancé de l’avocate française, actuellement incarcéré à la prison de Oukacha. Il avait été reconnu coupable d’insultes envers l’avocat et de violation de la confidentialité de l’enquête, suite à la fuite d’un appel téléphonique contenant des propos offensants et des accusations contre l’avocat des accusés dans l’affaire de viol.

Lors de la dernière audience du procès, les avocats de la défense ont demandé au jury de convoquer la personne ayant divulgué l’enregistrement audio sur les réseaux sociaux, soutenant que cet acte était à l’origine de l’arrestation de leur client.

La défense a affirmé que «l’accusation contre mon client a été fabriquée pour le faire céder dans l’affaire de viol», ajoutant que «le prévenu a préféré la prison plutôt que de céder à ces pressions».

L’avocat du prévenu a précisé que «seules 35 secondes de l’appel ont suffi à incarcérer mon client, bien qu’il s’agisse d’une conversation privée non publiée dans les médias ou sur les réseaux sociaux».

Il est à noter que l’avocate française Sixtine Félix, plaignante dans l’affaire Bennis-Alj-Slaoui, a retiré sa plainte le 7 mars 2025, au bureau du procureur de Casablanca, déclarant qu’elle était «inconsciente» lors de l’incident et que «ses déclarations ne correspondaient pas à la réalité» des événements du 2 novembre, lorsque Kamil Bennis a organisé une fête dans une villa du quartier d’Ain Diab à Casablanca, rassemblant environ 100 personnes. Elle avait accusé Bennis et trois autres individus—Mohamed Alj, Saad Slaoui et Ahmed Daghbour—de viol sous l’effet du GHB, surnommé la «drogue du viol».





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