21 juillet 2024 – Modifié le
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Un colloque intellectuel sur le patrimoine matériel et immatériel
Les animateurs du symposium ont mis en lumière le caftan marocain, le zellige et la musique de Grenade. Ce symposium a également été le témoin d'échanges fructueux entre les participants, au cours desquels des questions et des demandes ont été soulevées sur le secteur industriel traditionnel au Maroc, ses contraintes et défis, sa position. sur le marché local et national, et les moyens de le préserver et de le valoriser. Des partenariats avec des organisations internationales efficaces telles que l'UNESCO, pour sauver cet héritage de l'extinction.
Lors de son intervention, Mohamed Adeeb Belghazi, président de l'Association de préservation du patrimoine belghazi, a indiqué comment préserver le patrimoine matériel et immatériel marocain, et motiver les tranches d'âge émergentes à adopter la culture muséale pour développer ensemble et se familiariser avec ce patrimoine, en organisant des cours pédagogiques. visites dans les écoles, pour sensibiliser cette jeune génération aux métiers et aux sentiments traditionnels.
Belghazi a ajouté que la réticence des jeunes à exercer les professions industrielles traditionnelles et leur manque de connaissances dans ce secteur entravent la structure nécessaire pour élever une société capable de comprendre et de préserver le patrimoine culturel.
À cet égard, l'orateur a souligné la nécessité de solliciter l'aide des anciens artisans du secteur et de responsabiliser les jeunes groupes aspirants et passionnés par l'artisanat traditionnel avec leur expertise, soulignant que l'une des priorités de cet intérêt est de leur fournir une assistance. poursuivre le secteur avec une génération montante de jeunes qui connaissent et aiment cette précieuse culture.
En conclusion, les animateurs du symposium ont recommandé la nécessité d'intensifier les efforts individuels et nationaux pour aider les apprenants et les enseignants à élever l'industrie traditionnelle à un niveau meilleur qu'il ne l'est et à protéger le secteur contre les pertes, appelant à la création d'une journée nationale pour l'industrie traditionnelle. , comme le reste des pays arabes et occidentaux.