Le Conseil collectif de Martil a tenu sa session exceptionnelle pour le mois de juillet 2025, dirigé par Murad Handiol, le chef du conseil, en présence de Pacha Al -Madinah, les vice-présidents et membres du Conseil, en plus du directeur des intérêts collectifs, le chef du département des groupes locaux dans l’emploi de la Stron Fnide, et de l’occasion de ses chef Les organes de consultation, la société civile et les médias.
L’ordre du jour du cours a exporté la déclaration de la démission du membre collectif (MA), ainsi que trois axes principaux, représentés dans:
Modifier la décision fiscale.
Étudiez et ratifiez un projet de convention de cadre pour la partenariat et la coopération pour l’accompagnement technique et la finance des projets générateurs de revenus dans le cadre du programme d’amélioration des revenus et d’intégration économique pour les jeunes, l’axe du soutien à l’entrepreneuriat pour l’année 2025.
Amendement budgétaire jusqu’en 2025 et voter sur celui-ci.
La discussion du membre du membre (MA) a connu une discussion approfondie entre les conseillers, car la personne concernée a présenté les justifications de ses absences basées sur l’article 67 de la loi organisationnelle n ° 113.14 liée aux groupes, mais les opinions différaient entre ceux qui comprenaient ces justifications et ceux qui les considéraient comme insuffisants. Le vote a entraîné le soutien de 13 membres d’inspecter le licenciement, en échange du refus de 9 et 5 du vote.
Au lendemain de la session, une décision collective a été rendue pour rejeter le membre, après son absence de sept sessions ordinaires et exceptionnelles entre février 2022 et a été trompée en 2024, sans seulement faire trois excuses, avec son absence de cours décisifs, qui étaient intéressés à discuter du budget, de la surpllus et de ses projets de priorité. Le procès-verbal de la dernière session régulière a documenté ces données et la décision a été incluse dans son programme.
Une source du Conseil a confirmé que toutes les procédures juridiques stipulées à l’article 67 étaient respectées, y compris l’enregistrement des absences dans le dossier de fréquentation, et l’envoi d’une copie au travailleur de la région dans les délais juridiques, en préparation de renvoyer le dossier devant le tribunal administratif pour décider du licenciement.
À une époque où le membre concerné n’a pas soumis d’appel légal aux autorités compétentes, il a choisi de recourir à des plateformes de médias sociaux grâce à des attaques considérées comme offensantes. Cette étape a soulevé des questions sur son calendrier, en particulier en ce qui concerne un long silence, ce qui a incité un certain nombre de disciples à considérer comme une tentative de perturber la décision du Conseil, en l’absence de toute base juridique claire.
Les observateurs croient que la question ne dépasse pas une réaction émotionnelle à la perte d’une position politique, plus qu’un coup de couteau dans une voie juridique qui a subi un contrôle institutionnel précis.
Dans le cas où le pouvoir judiciaire est soutenu par la décision du Conseil, le groupe lancera les procédures d’annonce de la vacance du siège et d’ouvrir la porte aux candidatures pour le remplir, dans le cadre de son effort pour consolider la discipline et l’efficacité dans ses structures représentatives.
D’un autre côté, le Conseil a approuvé à l’unanimité le projet de contrat de partenariat lié à l’accompagnement technique et au financement des projets générateurs de revenus, car il s’agit d’une étape stratégique pour soutenir l’entrepreneuriat parmi les jeunes et les femmes dans une position fragile au niveau de l’emploi du détroit de Fnideq. L’accord vise à établir un mécanisme institutionnel efficace pour encourager les initiatives économiques et sociales, avec la contribution d’un certain nombre de partenaires publics et privés, et l’attribution d’un fonds de soutien conjoint avec un budget total de 5 400 000 dirhams.
Le Conseil a également approuvé la modification du budget en 2025 et modifier la décision fiscale d’une manière qui garantit son aptitude aux développements juridiques, en réalisant une plus grande justice budgétaire et en améliorant les ressources auto-envoyantes du groupe.
Le cours de la session a été conclu en récitant le télégramme de loyauté et de sincérité apportée à Sa Majesté le roi Mohammed VI, que Dieu l’aide, par le président du Conseil, Mourad Hudaol.