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Law 272 pousse les personnes atteintes de maladies chroniques à la fragilité sociale

Law 272 pousse les personnes atteintes de maladies chroniques à la fragilité sociale

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2025 29 septembre – il a été modifié en
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Le Dr Anwar Al -Sharqawi est un expert en communication médicale et médias de santé

Le Dr Anwar Al -Sharqawi est un expert en communication médicale et médias de santé

Science – par Anwar al -Sharqawi

Le chapitre 272 devrait cesser d’être une condamnation à mort sociale pour les personnes atteintes d’une maladie chronique et se transforme en un outil pour protéger les patients.

La nouvelle loi du travail, qui a été présentée comme un pas en avant de la protection sociale, peut se transformer en un vrai cauchemar pour des milliers de marocains atteints de maladies chroniques et graves.

Le chapitre 272, dans sa forme actuelle, stipule que chaque salaire cesse de fonctionner pendant plus de 180 jours continus en raison de la maladie, est considéré comme démissionné par la loi.

Derrière cette phrase administrative sèche, une tragédie humaine se cache dans toutes ses dimensions: patients cancéreux, maladies auto-immunes aiguës, insuffisance rénale de dialyse, maladies cardiovasculaires graves, sclérose en plaques ou polyarthrite rhumatoïde …

Tous ces éléments deviennent menacés de perdre leur source de moyens de subsistance au même moment qu’ils se battent pour survivre.

Lorsque les lois deviennent une épée sur le cou des patients

«Si ce chapitre n’est pas compté, les patients sont privés de leurs revenus, de leur couverture santé et des familles complètes tombent dans la pauvreté», prévient le Dr Munir Al -Bashushoshi, président de la Maroccan Association for Care in Oncology.

Il ajoute que des milliers de patients sont confrontés quotidiennement, en plus de la douleur de la chimiothérapie, de la radiothérapie et de la chirurgie, une nouvelle horreur: l’horreur de la perte de travail, et ainsi perdre la capacité de payer le prix des séances de médicament ou de traitement.

Désactiver les résultats: je n’ai pas pu payer le loyer, la difficulté de garder les enfants dans les écoles, une rupture due aux coûts.
Le patient devient une victime économique au-dessus d’être victime de la maladie.

La rhumatologie ne fait pas exception

L’affaire ne se limite pas aux patients atteints de cancer, selon le professeur Abdullah al -maghraoui, président de l’Association marocaine pour l’information (maladies conjointes)

> «La polyarthrite rhumatoïde n’est pas contrôlée, une spondylarthrite développée avec une lésion articulaire de la hanche, ou les maladies complexes du tissu conjonctif peuvent imposer un travail à long terme qui s’étend pendant de longs mois, et parfois il dépasse six mois. Considérant ces patients comme s’ils avaient démissionné, il y a une double punition pour ceux qui portent déjà le fardeau des patients plus lourds.  »

Ces maladies chroniques douloureuses et perturbées nécessitent souvent de lourdes chirurgies, de longues périodes d’hospitalisation et de réhabilitation ardue. Les patients n’ont pas choisi leur maladie et ils ne devraient pas être punis à cause de cela.

Une question de la société avant que ce ne soit la question du droit

L’Association marocaine pour les soins en appui dans l’oncologie, l’Association marocaine pour le ROIN, et un certain nombre d’associations de patients ont fait un appel urgent aux responsables du gouvernement pour modifier le chapitre 272 et approuver un statut juridique spécial qui protège les patients chroniques.

L’objectif est clair:

Assurer la stabilité sociale et continuer la couverture santé tout au long de la période de traitement, prévenir l’exclusion professionnelle et préserver la dignité et la stabilité des familles.

La faible protection n’est pas un luxe

« La santé est la personne la plus précieuse qui possède une personne, et la loi doit être protégée équitablement », souligne le Dr Al -Bashushi et le Dr Al -Maghraoui.

Le problème ici n’est pas seulement un amendement pour la loi sur le travail, mais plutôt une option sociétale claire:

Soit nous choisissons de protéger les patients, de soutenir le tissu social et de prévenir l’insécurité des familles, soit nous laissons des milliers de familles confrontées au sort de la pauvreté et du sans-abrisme.

Le provoquant de cette discussion aujourd’hui signifie rejeter le silence et la collusion, et rappeler à tout le monde que derrière chaque témoignage cesse de fonctionner, un être humain, une famille et une véritable bataille pour la vie.




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