3 juillet 2024 – Modifié le
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L'Association des femmes écrivains du Maroc et d'Afrique a dénoncé les documents non signés qui ont circulé récemment et qui constituent une usurpation d'identité, contre les lois en vigueur dans la pratique du travail collectif et contre la loi constitutive régissant l'Association des femmes écrivains du Maroc, expliquant que cela vient dans le but d'obscurcir les récents succès de l'association, qui s'inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre de son agenda au niveau national et en Afrique tel que fixé par les agences en accord avec les autorités compétentes.
Dans ce contexte, le Bureau exécutif de l'Association des femmes écrivains du Maroc et d'Afrique confirme dans un communiqué dont une copie a été obtenue par Al-Alam, son souci du respect du travail au sein des institutions et de la loi. .
Dans la même communication, le bureau susmentionné a appelé toutes les branches et entités à constituer une barrière impénétrable contre les campagnes systématiques de confusion et de conflits internes.
Il a également informé que les adhésions des personnes à l'origine de cette campagne seraient gelées et que leur dossier serait transmis aux conseillers juridiques de l'association pour suivre les procédures légales concernant tout usurpateur d'identité qui interfère dans le nom de l'association, et il a mis en garde contre le fait de traiter avec eux. .
