Le comité de l’éducation, de la culture et de la communication à la Chambre des représentants, aux premières heures de mardi matin, approuvé par la majorité du projet de loi lié à la réorganisation du Conseil national de presse, en présence du ministre de la jeunesse, de la culture et de la communication, Muhammad Al -Mahdi Benaidaid.
Le projet de loi a reçu l’approbation de 18 députés et l’opposition de 7 autres, alors qu’aucun adjoint ne s’est abstenu de voter.
Au cours de cette réunion, les amendements, qui comptaient 249, ont été décidés, notamment divers articles du projet de loi, en particulier les dispositions générales, les compétences du Conseil national de presse, sa formation et comment élire ses membres des représentants des journalistes et éditeurs professionnels, ainsi que de son organisation financière et administrative.
Parmi les points les plus importants soulevés par l’opposition, ceux liés à l’affectation de la catégorie des éditeurs dans la troisième branche du chapitre quatre, où il a appelé à l’adoption de l’élection au lieu du mandat, considérant que « l’élection est la plus haute forme de pratique démocratique, et que le mandat est un coup de l’indépendance et de la démocratie du Conseil ».
À cet égard, le ministre a renouvelé, dans sa réponse à cet amendement qui a été rejeté, pour confirmer que la sélection des élections pour les journalistes professionnels et la mission pour les éditeurs, ont renouvelé un choix qui évoque la différence de nature des deux organes, considérant que le mandat est une forme de formes représentatives fondées sur la compatibilité.
D’un autre côté, 45 sur 249, dont le plus important est l’amendement lié à la suppression de la pénalité pour l’arrestation de la période de publication périodique ou du journal électronique pendant une période ne dépassant pas 30 jours, qui est mentionné dans la neuvième section liée à la discipline. Les équipes majoritaires ont justifié cet amendement en harmonie avec les tendances du Royaume soutenant la liberté de la presse et le droit à l’expression.
Le vote était également à l’unanimité sur un certain nombre d’articles, dont le plus important est l’article 68, qui intéresse la médiation et l’arbitrage, et stipule la détermination de la période du dirigeant de médiation en trois mois, en plus de l’article 82, qui détermine les cas de référence immédiatement à la plainte par le président au Comité des problèmes éthiques et disciplinaires.
Dans son interaction avec les interventions des députés concernant les modifications soumises, M. Benaid a salué l’approche participative qui a été adoptée tout au long de la préparation de cet important texte législatif, rappelant le contexte dans lequel ce projet est venu, ce qui est la nécessité d’assurer la continuité des travaux du Conseil national de la presse et de dépasser les difficultés qui ont empêché la détention des élections professionnelles dans les morts légaux.