La circulation sur la route nationale reliant les villes d’Oujda et de Berkane, via Bni Drar, a été coupée samedi en raison du déferlement des eaux de ruissellement. La zone de l’aéroport d’Oujda Angads a été également inondée. Déplorant cette situation qui se répète chaque année, Salima Faraji, ex-députée de la région, a demandé quelles mesures les autorités compétentes prévoient de prendre pour prévenir l’inondation dans ces zones dans les années à venir.
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« Nous savons que l’eau inonde la zone entre Oujda et l’aéroport, et même que l’Office national des aéroports a vécu une période difficile l’année dernière en raison de l’atterrissage d’un avion dans un aéroport submergé par l’eau. Il aurait été possible que les avions atterrissent à Nador, par exemple. De plus, les pluies de l’année dernière ont mis en danger les automobilistes, et c’est ce qui s’est produit aujourd’hui. Pourquoi donc n’a-t-on pas pris les mesures nécessaires pour trouver des solutions afin d’évacuer ces eaux ? », s’interroge Faraji.
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Le ministre du Transport et de la logistique, Mohamed Abdeljalil, avait annoncé le lancement d’études pour prévenir les inondations au niveau des aéroports. Par ailleurs, plusieurs vols ont dû être détournés vers d’autres aéroports en raison des conditions météorologiques défavorables dans certaines régions.
