Le ministre des Transports et de la Logistique, Abdul Samad Qayyouh, a confirmé jeudi à Marrakech que la sécurité de l’aviation civile dans et autour des zones de conflit constitue un défi qui nécessite une approche collective.
Dans un discours lors de la conclusion des travaux de la 4e session du Forum international sur la sécurité aérienne, «l’atmosphère sûre», organisée sous le slogan »sur les zones de conflit: la planification des urgences et des stratégies pour atténuer ses effets», a souligné que la gestion des risques associés à l’aviation civile dans les domaines de conflit ne peut pas tomber sur un acteur, mais nécessite plutôt une approche collective et une mobilisation de la mobil acteurs.
M. Qayyouh a ajouté, dans un discours lu en son nom par le secrétaire du ministère-Général, Khaled Sharqawi, que les risques associés aux zones de conflit sont réels et augmentent constamment avec le développement de tensions géopolitiques dans certaines régions du monde, soulignant que face à cette situation.
D’un autre côté, le ministre a souligné que « ce forum a montré que grâce à la coopération, nous pouvons trouver des réponses concrètes, appropriées et efficaces », soulignant qu’il est nécessaire pour chaque acteur de jouer son rôle complet dans la prévention des risques et la préparation des plans pour atténuer les risques réalistes et possibles.
M. Qiyah a conclu qu’il «attendait un travail formidable. Continuons nos efforts et mettant en œuvre les mesures concrètes que nous avons identifiées et restent confiantes que les champs aériens doivent rester en sécurité pour tout le monde».
Les travaux de la 4e session du Forum international sur la sécurité aérienne ont connu la présence de plus de 250 participants d’experts et de décideurs, de représentants de 50 pays et 6 organisations internationales, 7 organisations régionales et 57 représentants des différentes composantes du système mondial pour l’industrie de l’aviation, afin de discuter des problèmes liés à la gestion des risques dans les domaines de conflit.
Pendant trois jours, les participants ont discuté d’un ensemble de sujets stratégiques, notamment la fermeture rapide et le coordinateur du champ aérien dans les situations de crise, les approches régionales de la gestion des risques, la capacité de résister à la lumière de la contraction des champs aériens disponibles, de la diversité des niveaux de transport des risques entre les pays et les acteurs du secteur du secteur.