Les ministres des Affaires étrangères des pays participant à la cinquième réunion de la Coalition internationale pour la mise en œuvre d'une solution à deux États, tenue mardi à Rabat, ont souligné que cette réunion représente une étape importante dans les efforts pour améliorer l'élan pour atteindre la paix au Moyen-Orient.
Au cours de cette réunion, qui a été organisée par le Royaume du Maroc en partenariat avec le Royaume de la terre basse, ils ont souligné sous le slogan: « La durabilité de l'élan pour le processus de paix: les leçons apprises, les réussites et les étapes à venir », a souligné la nécessité d'efforts concertés pour ouvrir la voie à une solution juste et permanente, basée sur les options de deux États qui vivent à côté de la sécurité et de la paix.
À cet égard, le ministre d'État aux Affaires du ministère palestinien des Affaires étrangères et expatriés, deux Chevaliers d'Agoukian Shaheen, a remercié le Maroc pour son organisation en partenariat avec le bas royaume des terres pour cette réunion, ce qui est une opportunité favorable d'unifier les efforts régionaux et internationaux pour une solution juste et durable.
Elle a ajouté que cette cinquième réunion, qui intervient après quatre autres réunions tenues à Riyad, Bruxelles, Oslo et le Caire, incarne l'engagement collectif envers la solution à deux états comme une option réaliste pour mettre fin au conflit, notant que cette réunion est un rappel de la situation tragique dans laquelle le peuple palestinien vit et confirme la détermination commune pour faire face à cette situation.
Pour sa part, le ministère néerlandais des Affaires étrangères, Christian Ribegen, a souligné que la solution à deux États peut apporter la paix, la sécurité et la stabilité dans la région de manière réelle, étant donné que la situation qui prévaut sur le terrain aujourd'hui est inacceptable et « devrait montrer la volonté de travailler ensemble afin de mettre en œuvre une solution à deux états ».
Il a souligné que cette réunion, qui représente la première réunion d'une présidence conjointe entre un État arabe et un État européen sous les auspices de la Coalition internationale, a été l'occasion de discuter des moyens d'établir une économie palestinienne forte qui renforce les attentes du peuple palestinien et d'un État palestinien indépendant.
À son tour, le ministre des Affaires étrangères de Bahraini, Abd Al -latif Bin Rashid al -zayani, a souligné que la solution à deux états n'est pas seulement un objectif politique, mais aussi une nécessité humanitaire et un engagement juridique basé sur le droit international, indiquant qu'il reste le seul moyen qui est applicable pour briser le cercle de violence et libérer les capacités de la région.
Dans la vidéo enregistrée via la vidéo, il a enregistré la nécessité d'un cessez-le-feu permanent, de la sortie d'otages et de détenus et de la livraison d'une aide humanitaire sans obstacle.
Il a ajouté que « la réunion d'aujourd'hui nous a permis de consolider cette unité et l'élan de cette solution à deux États, et avec un engagement sérieux envers toutes les parties, nous pouvons renforcer l'alliance mondiale et rendre la solution à deux états réelle, afin de transformer le Moyen-Orient en une région de paix, de stabilité et de respect mutuel, et les individus de toutes les religions coexistent dans la dignité. »
Quant au ministre français de l'Europe et des Affaires étrangères, Jean -Nawil Barrow, il a souligné la grande importance que son pays attache à l'alliance mondiale, indiquant que cette réunion arrive à un moment décisif. Il a ajouté dans un discours de photo que « la solution à deux états est aujourd'hui plus nécessaire que jamais », notant que la recherche d'un cessez-le-feu met fin à la souffrance des habitants de la bande de Gaza et conduit à la libération de tous les otages et à la reprise de la prestation de l'aide humanitaire est devenue urgente.
Il a poursuivi: « Le cessez-le-feu ne peut pas toujours être sans solution politique et il n'y a qu'une seule solution: deux pays pour deux peuples qui vivent côte à côte (…). » Il a considéré que la réunion que son pays a l'intention d'organiser avec le Royaume d'Arabie saoudite en juin prochain sur une solution à deux États vise à recréer un dynamisme diplomatique pour l'établissement d'un État palestinien et à assurer la sécurité de la région, appelant à « une mobilisation collective pour mettre fin à la tragédie du conflit arab-israélien et un prélude collectif à la paix ».
Quant au Premier ministre, le ministre des Affaires étrangères, Tania Fayon, il a appelé une intervention de photocopie pour faciliter la livraison de l'aide humanitaire sans obstacles, et les a distribués sous la supervision d'acteurs humanitaires internationaux et, selon des règles humanitaires. La nécessité de soutenir les Nations Unies et ses corps, y compris l'UNRWA et d'assurer son financement, soulignant que son pays reste complètement impliqué dans les initiatives en cours pour une échelle permanente.
En ce qui concerne le ministre des Affaires étrangères, l'Union européenne et la coopération espagnole, Jose Manuel Albaris Beno, a-t-il confirmé dans une intervention vidéo que cette réunion se déroule à un moment où l'alliance internationale de l'alliance en 2024. En plus de la reconstruction de Gaza, le ministre espagnol a souligné l'importance de travailler pour parvenir à l'accord pour former un gouvernement unifié en Palestine, dirigé par l'autorité palestinienne et à une solution politique aux deux pays.
Pour sa part, le ministre norvégien des Affaires étrangères, Espin Barth Eddie, a souligné que son pays est complètement convaincu que la solution à deux États est la seule voie applicable vers la liberté, la paix et la sécurité des deux pays. Après avoir souligné que « la situation à Gaza et en Cisjordanie a besoin d'une réponse urgente de notre part », il a souligné que cette alliance avait été créée afin que les membres concernés de la communauté internationale puissent mettre en œuvre les procédures nécessaires dans le but de contribuer à une échelle permanente et à l'établissement de l'État palestinien.
Il a souligné l'importance «centrale» de l'initiative réalisée par le Royaume du Maroc et le Royaume des Lands bas, afin d'organiser cette réunion, ce qui permettra de ouvrir la voie à des résultats distingués lors de la conférence qui sera présidée conjointement avec le Royaume de l'Arabie saoudite et de la France en juin prochain.