Aujourd’hui, le lundi 30 juin, la Chambre de délit régulière de la Cour de première instance fera appel des séances de procès d’Ahmed Bahaj, le chef du groupe Dirt, un voyageur de la province de Shishawah, qui suit en cas de libération en arrière-plan de fortes accusations.
Les poursuites publiques de la Cour de première instance d’Emmantanot avaient décidé, plus tôt, de suivre le chef susmentionné du groupe en cas de communiqué en échange d’une garantie financière qui a été fixée à 15 000 dirhams.
Ahmad Bahaj a représenté, le mercredi 4 décembre, devant l’attention de la poursuite, où il a été entendu concernant les accusations portées contre lui, avant qu’il ne décide de le suivre pour des accusations liées à «la diffamation contre une femme», «insultant les fonctionnaires en plus de« l’insulsion d’une loi organisée »et du« détournement de fonds publics », en plus de« l’insulte d’une loi organisée »et de la loi». Le 30 décembre dernier a été fixé à la date du lancement de son procès.
Les détails de cette affaire sont dus à une plainte déposée par un certain nombre de membres du Conseil collectif pour un voyageur, accusant le président de détourner les revenus de l’ambulance du groupe. La plainte était également basée sur un enregistrement audio divulgué, qui lui est attribué, qui comprenait des déclarations décrites comme abusives des institutions de sécurité nationale et de gendarmerie royale, ainsi que des insultes et des phrases insultant contre les habitants du groupe.
Cet essai se présente dans un contexte sensible, d’autant plus qu’Ahmed Bajaj appartient au parti d’authenticité et de modernité, ce qui ajoute une dimension politique à la question, qui reçoit une attention généralisée de l’opinion publique locale.