Le gouvernement britannique a expliqué qu’il s’était produit ses cartes et sites officiels, pour compenser l’expression « des territoires palestiniens occupés » avec le mot « Palestine », dans une référence pratique au changement politique pris par Londres.
Starmer a souligné dans un discours avec photo que le but de la reconnaissance est de « maintenir la possibilité de la paix et de la solution à deux états », notant que « le Hamas n’a pas sa place dans l’avenir de l’État palestinien ou dans ses institutions de sécurité ».
Pour sa part, le secrétaire d’État britannique Evit Cooper a souligné que la reconnaissance de la Palestine « est la meilleure garantie de respecter ensemble la sécurité d’Israël et de la Palestine », avertissant le gouvernement israélien de prendre des parties de la Cisjordanie en réaction à la décision.
Malgré le large accueil palestinien dans le déménagement, que le président Mahmoud Abbas a considéré une « victoire pour la droite palestinienne », la décision a été vive des critiques du gouvernement israélien et de son Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui a renouvelé son refus d’établir un État palestinien et a considéré la reconnaissance occidentale « une menace pour l’existence d’Israël ».
Quant aux États-Unis, il a décrit cette décision comme « Show », soulignant son accent continu sur la « diplomatie sérieuse ».
Ainsi, la Grande-Bretagne devient le pays tiers du grand groupe à reconnaître l’État de Palestine, à une époque où 11 autres pays ont annoncé leur intention de faire la même mesure, faisant passer le nombre de pays qui reconnaissent officiellement la Palestine à au moins 149 pays sur 193 membres des Nations Unies.