* Science électronique *
Le bureau exécutif de la Fédération générale des paysans du Maroc a tenu une réunion exceptionnelle à Agadir, J’ai été consacré à l’étude de la situation inquiétante du secteur du bétail ces dernières années et de la série de viande rouge en particulier, qui a connu une crise de production représentée dans une augmentation sans précédent des prix de la viande qui ont eu un impact sur le pouvoir d’achat des citoyens et des citoyens.
Après une discussion responsable et approfondie, les membres du bureau exécutif ont évoqué lors de la réunion exceptionnelle qui s’est tenueE Samedi 24 mai 2025, La souveraineté nationale des aliments en tant que vision stratégique future, et afin de faire progresser le statut de ce secteur, le Border Office a conclu ce qui suit:
1 – Il apprécie la fierté et la fierté des instructions royales royales lorsqu’il a présidé, que Dieu le protége aux critères objectifs.
2 – L’Union générale des paysans au Maroc loue la sage décision du commandant des fidèles, que Dieu l’aide, qui nécessitait de ne pas effectuer le rythme du sacrifice de la fête pour cette année pour préserver le troupeau national en raison du déclin énorme enregistré dans le nombre de bétail.
3 – Le bureau exécutif apprécie la sortie médiatique réussie de M. AlUNLe Maine, l’année du parti de l’indépendance, le Dr Nizar Baraka, sur la cupidité anti-inflationniste et l’a exhorté à l’importance de la saturation avec des valeurs morales qui doivent imprimer l’esprit des offres publiques et des opérations d’importation, en particulier celles liées à la sécurité alimentaire telles que le secteur de la viande et d’autres secteurs vitaux lorsque certains importateurs s’adressaient à une phrase très influente et honnête, «craignent le dieu dans le moral».
4 – Il confirme que la chaîne de viande est l’un des piliers du tissu économique et social dans le monde rural, et le composant de sécurité alimentaire, mais il est limité au cercle de sa nature traditionnelle et non organisée, en particulier dans le réseau de marketing, qui lui a fait souffrir de la productivité limitée, de la faiblesse du suivi et de la qualité, et du grand nombre de courtiers, en particulier dans la commercialisation de la subsistance, l’absence de compétitivité et l’instabilité des prix pour le fermier et le consommateur.
5 – Il est surpris par la décision d’importer des vaches pour répondre à la demande croissante sans assurer leur impact réel sur les prix, en particulier pour l’éleveur et le consommateur.
6 – Il exige la création de solutions radicales au problème de la forte carence dans le flux, qui est connue pour une augmentation de ses prix croissante avec les périodes successives de sécheresse malgré l’exemption des coutumes sur les matières premières en l’absence de surveillance de la qualité et des prix; Cela a entraîné une augmentation des coûts de production, avec lesquels les éleveurs de bétail sont souvent obligés de vendre une partie du troupeau pour couvrir les dépenses d’alimentation pour le reste du bétail.
Soutenir à cultiver Pulem est une nécessité urgente tout en encourageant l’assemblage à assurer l’alimentation du troupeau, en particulier pendant les périodes de sécheresse, et pour réduire la fragilité des jeunes éleveurs.
7 – Il appelle à payer les soins nécessaires aux ressources génétiques et aux souches produites, car les souches locales des vaches, malgré leur adaptation aux conditions climatiques et environnementales, ont une efficacité de viande limitée, et le système d’hybridation avec les races spécialisées dans la production de la viande à partir d’origine importée est toujours limitée et débris à l’absence de la poursuite et de la suivi de la viande.
8 – Il exige des solutions urgentes et radicales au bétail de marché, qui reste le maillon le plus faible pour la série, car l’absence de marchés organisés et de systèmes de vente transparents affecte négativement la stabilité des prix et empêche la bonne évaluation des efforts des éducateurs.
Dans ce contexte, le syndicat exige la modernisation des marchés du bétail et le prépare avec des installations qui facilitent les conditions de marketing en pleine transparence.
9 – Il soutient l’attention sur la détérioration du statut des massacres et le faible nombre de massacres approuvés modernes, car de nombreuses opérations d’abattage ont lieu dans la détérioration des problèmes de santé, ce qui menace la qualité et la sécurité de la viande.
Par conséquent, il exhorte à accélérer sa généralisation et sa réhabilitation, et à travailler pour encourager l’investissement du secteur privé dans l’informatique, et à entrer dans les producteurs et leurs organisations professionnelles pour bénéficier des services de massacres.
10 – Le renforcement du programme de génération verte est proposé avec des mesures concrets qui restaurent le statut de base du secteur de l’élevage pour obtenir la sécurité alimentaire, en intégrant les jeunes dans la création d’unités de production et d’engraissement, de moderniser les pratiques de production et d’interdire la viande et la valeur, et de soutenir et de suivre le rythme des investissements dans le secteur.
11 – Il souligne l’importance d’améliorer le cadre rapproché des éleveurs d’élevage, en particulier dans les domaines de la sensibilité, tels que les méthodes d’alimentation, la régulation de la reproduction et des soins de santé pour le troupeau pour améliorer la productivité et l’installation des coûts.
12 – Avec le phénomène de la sécheresse, qui est devenue la structure et la rareté des eaux souterraines dans de nombreuses régions du royaume, l’Union générale des paysans du Maroc demande en particulier au niveau des plaines agricoles adjacentes aux plages pour fournir des idiots et un infect Le couscous marocain d’autre part.
13 – Tous les acteurs du bétail, des collaborateurs, des associations, des vétérinaires, des fabricants de produits animaux et de distributeurs pour unifier les efforts sur une vision nationale unifiée des objectifs et un participateur aux pratiques.
14 – L’union générale des paysans au Maroc fait l’éloge des mesures d’incitation des éleveurs d’élevage du gouvernement afin d’activer les tendances royales royales et de réaffirmer la nécessité de soutenir les éleveurs d’élevage, en particulier les jeunes d’entre eux avec une transparence afin que tout le monde bénéficie du soutien de l’État pour assurer la préservation de notre sécurité alimentaire nationale.
Des soins particuliers doivent être accordés pour soutenir le secteur de l’élevage dans les zones arides qui dépendent de l’élevage en tant qu’activité de base et d’une seule source de revenus dans la population.
15 – Il souligne le soutien des jeunes en accordant le début du projet et en facilitant l’accès aux terres, et en accordant un soutien financier préliminaire pour établir des déchets pour les jeunes, ainsi qu’en allouant des terres collectives ou étatiques à la jeune exploitation pastorale en fonction des contrats transparents, afin d’atteindre leur impact sur le niveau de réduction du chômage et de stimulation de la stabilité dans le monde rural.
16 – Il appelle au lancement des initiatives nationales d’innovation agricole en adoptant les meilleures solutions techniques associées à l’alimentation du troupeau, du suivi intelligent, du marketing ou de la pollinisation, dans le but d’attirer les jeunes compétences et de développer des technologies locales innovantes.
17 – Il appelle à la création de réseaux pour l’accompagnement et les conseils entre les générations pour assurer la création d’un système d’accompagnement entre les agriculteurs expérimentés et les jeunes ayant des investissements agricoles, et stimuler les résultats sur le terrain avec l’octroi sur la base des indicateurs de performance, tels qu’une initiative qui assure la continuité des compétences et la transition en douceur de la connaissance agricole.