Dimanche, Israël a annoncé la suspension de l’entrée de l’aide à la bande de Gaza et a également mis en garde contre les « autres conséquences » sur le Hamas s’il n’a pas accepté une extension temporaire de la trêve dans la bande de Gaza.
« Le Premier ministre a décidé, à partir de ce matin (dimanche), de suspendre l’entrée des marchandises et des fournitures à la bande de Gaza », a indiqué un communiqué publié par le poste de Premier ministre Benjamin Netanyahu.
« Israël n’acceptera pas de cessez-le-feu sans libérer nos otages, si le Hamas continue de le rejeter, il y aura d’autres conséquences », a ajouté la déclaration.
Dimanche, le Hamas a décrit la décision d’Israël comme du « chantage » et un « crime de guerre » qui viole l’accord de cessez-le-feu qui est entré le 19 janvier.
Le mouvement a déclaré dans un communiqué que « la décision de Netanyahu d’arrêter l’aide humanitaire est un chantage bon marché, un crime de guerre et un coup d’État qui se sont rendus à l’accord », a indiqué le mouvement dans un communiqué. Le mouvement a examiné que Netanyahu lançant « des allégations trompeuses (contre le Hamas), qui sont sans fondement et une tentative infructueuse de couvrir ses violations quotidiennes et méthodologiques de l’accord ».
Le Hamas insiste pour passer à la deuxième étape de l’accord et Israël est d’accord avec un plan américain
La décision israélienne intervient après que le Hamas ait confirmé dimanche son adhésion à la demande de déménagement à la deuxième étape de l’accord de cessez-le-feu à Gaza, tandis qu’Israël a annoncé samedi tard samedi qu’il a convenu d’un plan pour l’envoyé présidentiel américain Steve Wittouf pour une trêve temporaire pendant le mois du Ramadan. Le bureau de Netanyahu a déclaré que Wittouf a montré cette proposition après avoir conclu qu’il était impossible de concilier immédiatement les positions du Hamas et d’Israël.