Dans son discours d’ouverture, Mohamed Bennilo, chef de l’autorité nationale pour l’intégrité et la prévention des corruption et sa lutte, a souligné que la corruption dans le système de santé ne représente pas simplement un déséquilibre accidentel, mais affecte plutôt l’essence du droit à une vie décente et un traitement avec dignité, menace la sécurité nationale de la santé et sape la couverture complète de la santé.
Bennilo a souligné que la corruption dans le secteur de la santé, selon les estimations des organismes internationaux, provoque la perte d’au moins 7% des dépenses de santé mondiales et est l’un des « risques réguliers » qui entravent la réalisation des objectifs de développement durable. Il a ajouté que ce danger ne se limite pas au manque d’intégrité individuelle, mais révèle plutôt une fragilité dans les structures organisationnelles, une faible gouvernance, l’absence de transparence et de contrôle et un conflit d’intérêts au sein du système de santé.
Le chef de la Commission a souligné que l’étude sur le terrain réalisée par la fondation a montré que le secteur de la santé représente l’une des préoccupations les plus importantes des citoyens marocains, car ils entrent en collision avec leur accès au traitement avec un certain nombre d’obstacles tels que la corruption, la mauvaise qualité, la discrimination dans l’accès et les conflits d’intérêts.
Bennilo a souligné que l’atelier de formation actuel constitue une occasion pour diagnostiquer les dommages structurels dans le système de santé et la préparation d’une carte précise des risques de corruption, en traitant deux axes principaux: une chaîne de valeur pour les produits médicaux qui restent vulnérables à les risques Interventions injustifiées.
Le porte-parole a souligné que le projet ne se limite pas à la création d’une perception théorique, mais plutôt à des efforts pour établir l’immunité institutionnelle similaire à l’immunité biologique contre les virus, à travers des outils juridiques et organisationnels participatifs qui garantissent la transparence et l’intégrité dans la fourniture de services de santé.
At the end of his speech, Bennilo praised the effective engagement of the Ministry of Health, headed by Minister of the Guardian, appreciating the positive interaction with the commission, and also praising the pivotal role of civil society bodies and representatives of the media present, and stressing that fighting corruption is not the responsibility of a specific party, but rather a collective duty as stated in the speech of His Majesty King Mohammed VI, may God bless him, who considered the fight contre la corruption entre un problème commun l’État et la société.
Le chef de la Commission a conclu le succès du succès dans les efforts collectifs pour faire de la prévention de la corruption un critère pour l’efficacité des politiques publiques, et une véritable garantie du droit du citoyen à la santé, pas un privilège circonstancier, et a fait de la corruption une exception pour lutter, pas une base pour se taire.