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La chute d’un réseau criminel qui comprend des gendarmes et des médiateurs

La chute d’un réseau criminel qui comprend des gendarmes et des médiateurs


Drapeau électronique – Muhammad al -Habib Huwaidi

Dans l’une des plus grandes affaires liées à la contrebande de drogue, la Chambre du crime du crime de la Cour d’appel de Casablanca, le mardi 11 mars, a rendu des décisions judiciaires totalisant 72 ans de prison contre un groupe d’accusés, notamment des gendarmes, des informateurs et des médiateurs, qui étaient un réseau criminel actif dans la région mellal-khenifra de Beni.

Le principal suspect de l’affaire, Muhammad. Quatre autres accusés, qui ont joué le rôle d’informateurs et de courtiers, ont été condamnés à cinq ans d’emprisonnement pour chacun d’eux, tandis que l’accusé a reçu une peine de trois ans en prison.

Quant aux hommes de gendarmerie impliqués, ils ont été condamnés à de graves peines, car cinq d’entre eux ont été condamnés à dix ans de prison, tandis que 20 des 20 derniers gendarmes ont été condamnés à 20 mois d’emprisonnement, ce qui a permis à certains d’entre eux de quitter la prison après avoir dépensé leurs peines depuis leur arrestation.

L’affaire, qui a fait l’objet d’une enquête sous la supervision du procureur du roi à la Cour d’appel de Casablanca, a été témoin de confrontations directes entre le baron de la drogue et un certain nombre de gendarmes accusés, qui ont révélé la complexité du réseau et sa prolongation au sein des institutions chargées de l’application de la loi. Les enquêtes comprenaient des dizaines d’éléments de gendarmerie de divers rangs et ont abouti à la suite de 37 gendarmes.

Les décisions rendues reflètent un fort désir de lutter contre les crimes de contrebande de drogue, en particulier lorsque certains hommes de sécurité font partie de ces réseaux criminels. Il souligne également la nécessité d’améliorer les mécanismes de contrôle et de responsabilité au sein des services de sécurité, afin de s’assurer que l’influence n’est pas utilisée pour protéger les activités illégales. Cette question soulève des questions sur l’impact de ces dispositions sur la réduction de la contrebande de drogues, et s’il suffit de dissuader les personnes impliquées à l’avenir.



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