On the occasion of the African Anti -Corruption Day, corresponding to July 11, 2025, Mohamed Bennilo, Chairman of the National Authority for Integrity and Bribery Prevention and its fight, sent a strong message calling for the renewal of collective and individual commitment in the battle of dignity and justice, stressing that fighting corruption is no longer just technical or legal stakes, but rather an existential battle related to the preservation of human values and the protection of human dignité dans sa dimension complète.
In his message, which coincides with the twenty -second anniversary of the adoption of the African Union Convention for Corruption and its Introduction, Benalallo highlighted that the slogan chosen by the African Union this year, « strengthening human dignity in fighting corruption », is not an accidental slogan, but an expression of a moment of profound collective awareness, and a call to redirect efforts towards man as the essence of every development and Réforme institutionnelle.
Le chef de la Commission a considéré que la corruption ne se limite pas à saper les institutions et à voler des ressources, mais son impact s’étend à l’écrasement des droits, en déshabillant les individus de leur dignité et en faisant des groupes fragiles les premières victimes, ce qui impose la transgression des approches traditionnelles et s’engageant dans un projet communautaire intégré qui fait la culture de l’intégrité, la pratique et le comportement quotidiennement.
Bandello a souligné que le Maroc, grâce à sa récente initiative internationale au sein du Conseil des droits de l’homme à Genève, a incarné cette tendance lorsqu’il a affirmé que la bataille pour lutter contre la corruption fait partie intégrante de la bataille de la justice sociale et du développement durable, et que la transparence, la responsabilité et le droit sont un fondement fondamental pour préserver la dignité et établir la confiance dans les institutions.
Dans le même contexte, il a souligné que la Commission nationale de l’intégrité a fait de la « dignité humaine » un axe central de l’ingénierie des politiques publiques, et dans toutes les initiatives visant à améliorer la transparence et la responsabilité, que ce soit par la législation ou en créant des partenariats intelligents avec divers acteurs de l’administration publique, des établissements constitutionnels, de la société civile et d’un secteur privé, de la stabilisation de ce légal.
Bennilo a déclaré que la bataille de l’intégrité est non seulement une question de lois et de réglementations, mais plutôt une bataille de conscience et de renforcer la confiance entre le citoyen et l’État, ce qui nécessite à chacun un engagement continu qui n’est pas encadré par les occasions mais est imposé par le besoin sociétal et la volonté politique, soulignant que le 11 juillet doit être transformé d’un projet de réforme substantiel.
À la fin de son message, le chef de la Commission nationale de l’intégrité a souligné que chaque progrès dans le domaine de l’anti-corruption est en fait une victoire directe pour la dignité humaine, et une étape qualitative vers des sociétés plus équitables et équitables, soulignant que la protection de la dignité du citoyen doit être la compasse de toutes les politiques publiques et des réformes institutionnelles, que ce soit dans le mocco ou dans le député de l’espace africain qui partage le même espace.