Selon un communiqué publié par le ministère iranien des Affaires étrangères, il a indiqué que Téhéran avait indiqué à plusieurs reprises sa position rejetant tout acte terroriste, soulignant en même temps la nécessité de mener une enquête transparente et équitable basée sur des normes légales, au lieu des procès qu’il a décrits comme « simulaires ».
Le bombardement, qui a eu lieu le 18 juillet 1994, a tué 85 personnes et blessé des centaines, et est l’attaque la plus féroce d’Argentine dans son histoire moderne.
Dans sa déclaration catégoriquement, Téhéran a rejeté les accusations contre ses citoyens, car il a condamné ce qu’il a décrit comme les tentatives de certaines parties à l’intérieur argentin pour influencer le pouvoir judiciaire dans le but de rendre les décisions « invalides », appelant à la divulgation des cadres réels et en les référant à la justice.
Le ministère a ajouté que « les preuves qui se sont accumulées au cours des trois dernières décennies, en particulier les pressions que l’entité israélienne du système judiciaire argentin confirme, confirmant l’existence d’une intention organisée de facturer faussement l’Iran et de couvrir les auteurs réels ».
La déclaration a mis en lumière les changements répétés de l’équipe judiciaire en charge de l’affaire et les scandales de corruption qui ont entaché le travail de certains juges, à leurs démissions et tentent de les assassiner, décrivant cela comme une preuve supplémentaire de « la manipulation systématique du dossier judiciaire ».
À la fin de sa déclaration, elle a souligné que Téhéran « se réserve son droit légitime, en vertu du droit international, dans la réponse appropriée à toute action injustifiée ou décision arbitraire prise contre elle ou ses citoyens, et prendra ce qu’elle juge approprié au moment où il détermine. »