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Hilal révèle au Conseil de sécurité pour falsifier les faits de l’Algérie sur la question du Sahara marocain

Hilal révèle au Conseil de sécurité pour falsifier les faits de l’Algérie sur la question du Sahara marocain


Science électronique – suivi -up

The Ambassador, the permanent representative of Morocco to the United Nations, Omar Hilal, yesterday, Monday, sent a message of response to the president and members of the Security Council, in which he refuted the false and false allegations of the Algerian ambassador on the issue of the Moroccan Sahara during a briefing on the council, highlighting that the representative of Algeria, as usual, was involved in practicing his favorite hobby in falsifying facts et des preuves concernant la population qui vit dans les camps de Tindouf.

Dans cette lettre, M. Hilal a exprimé le regret profond du Royaume du Maroc après la déclaration malveillante faite par l’ambassadeur, le représentant permanent de l’Algérie, Ammar bin Jameh, lors de la réunion s’est tenue hier au Conseil de sécurité concernant « les défis liés à des déplacements forcés à travers le monde ».

Dans son discours, l’ambassadeur algérien a profité du haut-commissaire des Nations Unies aux réfugiés, Philipo Grande, pour promouvoir des mensonges, déformer les faits et falsifier les preuves de la population qui vit dans les camps de Tindouf, en Algérie.

À cet égard, l’ambassadeur Hilal a présenté des données qui ont réfuté les fausses déclarations faites par le représentant de l’Algérie, qui était la seule à avoir abordé la question du Sahara marocain pendant ce briefing.

Le diplomate marocain a souligné que les habitants des camps de Tindouf ne sont en aucun cas « des personnes déplacées de force », comme le prétendent le représentant algérien, mais ils sont plutôt résidents de leur vol ainsi que le haut-commissaire des réfugiés.

Il a déclaré que l’Algérie viole également les droits qu’ils leur donnent les mécanismes du droit international humanitaire, de la Convention de Genève et de ses protocoles supplémentaires, en particulier le droit à la liberté d’expression, de mouvement et de démonstration, ajoutant que cette population vit dans les camps que l’Algérie a confié à sa responsabilité, à son suivi et à sa gestion des séparations armées Dans son rapport « CCPR / C / DZA / CO / 4 » le 17 août 2018, le neuvième paragraphe.

Dans la réponse aux indices de l’ambassadeur algérien aux allégations de « l’occupation » du désert par le Maroc, M. Hilal a déclaré que l’occupation du Sahara s’est terminée par le retour de ces régions à sa mère patrie, au Maroc, selon les accords de Madrid datés de novembre 1975, que l’Assemblée générale a pris dans sa décision « 34/58 B », en décembre 1975.

Le diplomate marocain a affirmé que « le représentant algérien tolne le fait que le Conseil de sécurité envisage la question du Sahara marocain en vertu du chapitre VI de la Charte des Nations Unies, pour le règlement pacifique de ce conflit régional fabriqué pendant un demi-siècle par son pays, avec ses implications qui ne sont pas calculées par les conséquences de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans la région Maghreb et la région africaine.

M. Hilal a souligné que l’Algérie ne coopère pas avec les agences des Nations Unies et les partenaires humanitaires afin de s’assurer que les habitants des camps de Tindouf entrent dans les services de base, ajoutant que l’Algérie a refusé de permettre au haut-commissaire aux réfugiés de compter et d’enregistrer cette population détenue dans les camps de Tindouf depuis plus de 50 ans, malgré les ordonnances claires dirigées par le Conseil de sécurité dans ses décisions successives depuis plus de 50 ans.

Il a continué en disant que « l’absence du processus de statistiques des statistiques conduit à l’emploi de l’aide humanitaire, ce qui a incité les agences et les ONG à réduire la taille de leur aide ».

Dans la lettre de réponse adressée au Conseil de sécurité, l’ambassadeur, le représentant permanent du Maroc auprès des Nations Unies, a enregistré que les rapports du Bureau européen pour lutter contre la fraude, le bureau de l’inspecteur général des Nations Unies pour les réfugiés, le programme alimentaire mondial, ainsi que de nombreuses ONG et organisations internationales, ont confirmé l’emBezzlement de l’aide humanitaire par la « Polisario ».

Dans sa réponse à ce qu’il a décrit comme l’invitation de l’Algérie à une « solution durable » à la question du Sahara marocain, M. Hilal a condamné cette manœuvre, la décrivant comme une simple cendre dans les yeux, expliquant que la solution permanente « passe par le respect des résolutions du Conseil de sécurité, qui appelle la résumée du processus politique et de la table ronde. Secrétaire-général du Sahara marocain, Stavan de Mistura, en octobre 2021.

Malheureusement, l’ambassadeur a exprimé le fait que ce comportement poursuit ce processus en cas d’immobilité et d’impasse, avec les conséquences humaines qui en résultent de la population tenue dans les camps de Tindouf.

D’un autre côté, M. Hilal a souligné que la solution permanente consiste à télécharger l’initiative marocaine pour l’auto-gouvernement, que le Conseil de sécurité décrit, il y a 18 ans, comme sérieuse et crédible, soulignant que cette initiative est largement appréciée par la communauté internationale comme la seule et la seule base pour régler ce conflit, dans le contexte du respect du sovereigny national du royaume et de son intégrité territoriale.

Il a ajouté que « l’intransigeance de l’Algérie l’empêche de se rendre compte que cette initiative a le soutien de plus de 100 États membres des Nations Unies, dont deux membres permanents du Conseil de sécurité, l’ancienne force coloniale du Sahara marocain et 23 membres de l’Union européenne ».

Dans ce contexte, il a mentionné la récente décision du Conseil de sécurité n ° 2756 (2024), qui a salué le dynamisme international soutenant l’initiative marocaine pour l’autonomie, et a exhorté sa valorisation afin de trouver une solution politique finale à ce conflit, qui est témoin, M. Hilal Continue, que l’initiative Autonomy permet le point de vue du principe de l’auto-détection.

Lorsque l’ambassadeur algérien parle de l’organisation du référendum, M. Hilal a dénoncé cette « obsession pathologique » de l’Algérie, enregistrant qu’il n’est pas caché au représentant permanent de l’Algérie que le Conseil de sécurité et l’Assemblée générale sont la principale option référendaire, depuis 2002 et 2003, respectivement.

À la fin de son message, M. Hilal a souligné que « l’ambassadeur algérien oublie également que les décisions soutenues par son pays lors de son mandat précédent au Conseil de sécurité, ainsi que celles qu’il se lève chaque année au quatrième comité de l’Assemblée générale, n’inclut plus de référence au référendum ».

Le message envoyé par l’ambassadeur Hilal sera publié auprès du président et des membres du Conseil de sécurité des Nations Unies, en tant que document officiel pour l’autorité des Nations Unies.

Il convient de noter que la réponse faite par le Haut Commissaire aux réfugiés aux membres, au cours de ce briefing, a totalement ignoré les diplomates algériens présumés et faux.



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