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« Groupe » .. une pièce qui cherche dans la douleur humaine et illumine ses pauses avec des peintures de poésie

« Groupe » .. une pièce qui cherche dans la douleur humaine et illumine ses pauses avec des peintures de poésie

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Esthétiquement, la scénographie que Hoda al -hoda et l’éclairage de Rumisa Chrashra ont formulé un langage visuel complétant le texte, tandis que Ming a donné une vidéo de la satisfaction de mendicité et de la voix de Malakat Qish en jouant et en chantant une tension swing entre la lumière et l’obscurité, entre le symbolisme de l’affaire et les nouveaux signes de naissance. Ainsi, l’espace théâtral se transforme en une plaque visuelle qui pulmonaire avec des symboles, parallèle à la densité du langage poétique dans le texte.

Quant à la performance d’acteur, il est devenu cohérent, Walid Al -Maaroufi incarnait l’éclat des transformations internes d’une personnalité équitable, tandis que Hanan Al -Alam a donné à la personnalité de Marie une profondeur humaine alors qu’elle se balance entre l’amour et la létalité. Amina Al -liq a présenté Khawla comme une image intense du silence mortel, tandis que Yassin Houari a été imprimé en double présence, un auteur, réalisateur et acteur, pour faire fondre sa vision créative dans la structure du spectacle.

« Groupe » n’est pas une histoire qui passe, mais plutôt un argument visuel et poétique qui plonge dans les sous-sols de l’esprit humain et soulève des questions de liberté, d’absence et d’un rêve reporté. Depuis sa fondation, le groupe a renvoyé ses fans à des œuvres expérimentales qui s’ouvrent à diverses formes expressives et font de la scène un domaine de méditation esthétique et intellectuelle..

La force du «groupe» réside dans sa capacité à combiner le privé et le public, car il s’agit d’une part une tragédie personnelle, et d’autre part un miroir d’une fragilité collective vécue par la société marocaine; Où les principes s’effondrent devant les pressions de la réalité, et où les jeunes s’aventurent avec leur vie lors de voyages sans retour, et où les femmes sont suspendues entre l’amour et la perte. La présentation ici n’est pas seulement une histoire sur l’échec, mais sur le désir de poser la question, qu’après le coucher du soleil?

Dans sa profondeur, la pièce ne déclare pas la déclaration autant qu’elle est possible pour une nouvelle naissance, de faire du coucher du soleil un croisement des cendres de la fin à un autre début. C’est donc une invitation à révéler, à adhérer à l’humanité restante, et à voir le théâtre comme un espace de responsabilité pour la réalité et une motivation pour la conscience. Avec cela, le «groupe» se présente comme un ajout qualitatif à la scène théâtrale marocaine, où le langage poétique rencontre l’image visuelle, pour formuler une œuvre artistique et intellectuelle intégrée qui combine la profondeur esthétique et les questions existentielles majeures.



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