Le mardi 2 septembre 2025 à huit heures du soir, la scène du théâtre al-Mansour à Rabat accueillera le premier spectacle de la pièce « Group », la nouvelle œuvre théâtrale du groupe Eureka, dans un événement artistique promettant d’enrichir la scène culturelle marocaine et d’ajouter une nouvelle imprimée dans le chemin expérimental du théâtre.
Cette offre, organisée par le soutien du ministère de la jeunesse, de la culture et de la communication, ouvre une fenêtre devant le public avec une expérience théâtrale qui combine une vision visuelle innovante et un langage poétique dense, dans une œuvre qui traite des conflits humains et des rêves brisés qui se croisent avec les détails de la vie quotidienne de l’individu.
Selon un communiqué de presse publié par le groupe, la pièce de « groupe » constitue le début d’une tournée nationale qui parcourra un certain nombre de villes marocaines, dans une décision qui vise à rapprocher cette expérience artistique d’un public plus large et à étendre l’espace de réception théâtral en dehors du centre.
La pièce présente, selon ce qui a été énoncé dans la même communication, un argument visuel et poétique qui évoque la lutte de l’individu avec les restrictions qui se plongent et plongent dans les moments de la rupture des rêves et de l’entrelacement des relations humaines. Ses peintures théâtrales dépendent d’un langage poétique et de scènes fortes qui font du spectacle un matériel artistique profond et inspirant.
Depuis sa fondation, le groupe Eureka cherche à présenter des performances théâtrales basées sur la recherche, l’expérimentation et l’ouverture à diverses formes d’expression artistique, qui a été assisté par sa présence dans la scène nationale à travers des œuvres qui inspirent les problèmes humanitaires actuels d’une manière esthétique qui interdisait entre l’image poétique et la dimension visuelle.
Quant à la pièce « groupe », ce n’est pas seulement une narration d’une histoire, mais plutôt une contemplation humaine dans la lutte de l’individu avec les restrictions de la vie, dans les rêves qui se cassent devant le mur de la réalité, et dans les relations qui se balancent entre l’émancipation et la peur de la perte. Le travail, avec son style poétique et ses images fortes, pose des questions sur la liberté, l’absence et un rêve différé, pour faire du « coucher de soleil » non pas une fin, mais une traversée vers une nouvelle possibilité.
La pièce « groupe » ne vient pas comme une histoire transitoire qui est racontée sur la scène, mais plutôt comme un voyage contemplatif qui cherche dans les sous-sols de l’esprit humain. C’est une forte confrontation entre un objet fragile et les chaînes d’une réalité obstinée, où les rêves sont brisés sur les rochers quotidiens, et où les relations humaines restent en attente entre un désir radical de libérer et une peur effrayante de la perte.
Le travail, avec sa poésie délicate et ses images théâtrales illuminées, n’est pas satisfaite du transfert de scènes de la vie, mais ouvre plutôt les portes des grandes questions existentielles: quelle est la signification de la liberté? Comment sommes-nous confrontés à l’absence? Où va le rêve reporter lorsqu’il entre en collision avec les limites du possible?
Le « groupe », dans sa profondeur, ne déclare pas la déclaration autant qu’il agite la possibilité d’une nouvelle naissance. Il s’agit d’une traversée de l’étanchéité de la réfraction à l’horizon de la possibilité, et des cendres de l’extrémité à une autre flamme de départ.