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Glovo réagit à la carte tronquée du Sahara et botte en touche sur le volet social

Glovo réagit à la carte tronquée du Sahara et botte en touche sur le volet social

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À la suite du rassemblement des livreurs de Glovo Maroc organisés au sein de l’Union marocaine du travail (UMT), lundi 21 juillet à Casablanca, l’entreprise a diffusé une mise au point pour «réaffirmer son engagement envers la communauté des coursiers partenaires». Réagissant tout d’abord à la représentation d’une carte tronquée du Sahara, sur son application, la plateforme souligne qu’elle «opère sur l’ensemble du territoire national, de Tanger à Laâyoune, et dans le plein respect de l’intégrité territoriale».

Dans un communiqué parvenu à Yabiladi, l’entreprise explique l’apparition de la carte tronquée par «une anomalie technique, identifiée par les équipes» à la suite d’une «récente mise à jour externe, entraînant l’affichage temporairement incorrect». «Dès sa détection, cette anomalie a fait l’objet d’un traitement immédiat et la carte s’affiche correctement sur l’application», assure encore Glovo.

Sur le volet et social et économique qui concerne les conditions de travail des livreurs, l’entreprise dit prôner une «politique d’ouverture au dialogue avec la communauté des coursiers, dès lors qu’il s’inscrit dans un cadre respectueux, constructif et transparent». Sans mentionner la récente mort d’un coursier dans un accident de la route, la même source évoque des rencontres d’échange, ces dernières semaines, «avec une centaine de coursiers à Casablanca dans un esprit constructif».

Depuis plusieurs semaines, les tensions se sont exacerbées entre les livreurs et l’antenne marocaine de la plateforme espagnole, qui compte plus de 5 500 coursiers dans le pays. A la suite de la mort de leur collègue, les concernés ont appelé à «respecter le droit à l’organisation syndicale» et à une considération des charges financières lourdes dont ils s’enquièrent, y compris les vestes et les casques.

Dans ce contexte, l’entreprise affirme s’inscrire dans une démarche de dialogue. Pour autant, les manifestants continuent de pointer «des positions et des actions de la direction» faisant que l’organisation du travail «s’apparente à un esclavage».





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