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Elle affirme ne pas être concernée par le conflit. L'Algérie viole les règles de la diplomatie et viole les principes du droit international.


Sciences_Rabat

La position insensée prise par l'Algérie en retirant son ambassadeur en France pour exprimer son rejet de la décision souveraine française par laquelle elle a reconnu, dans une reconnaissance forte et explicite, la souveraineté du Maroc sur son désert, n'a aucune explication rationnelle, politique ou juridique. sauf qu’il s’agit d’une violation des règles de la diplomatie qui régissent les relations entre les pays, et d’une violation des principes du droit international qui impose de s’abstenir de toute ingérence dans les affaires intérieures des États, sous quelque forme que ce soit..

La décision de retirer l'ambassadeur exprime, selon les normes diplomatiques, un conflit surgissant entre les politiques des deux pays, sur une question spécifique, qui peut conduire à des complications qui déstabilisent les relations bilatérales et peuvent conduire à des degrés plus élevés de déstabilisation de la dépendance mutuelle. entre les deux pays. .

Selon les règles de la psychologie politique, et selon les principes diplomatiques approuvés, et dans une perspective rationnelle de l'action menée par l'Algérie, protester contre la France, qui a opéré un virage stratégique dans sa position sur la question du Sahara marocain, est , au sens juridique et au sens médical, une mesure insensée et une position dépourvue de tout élément d'action. Un comportement rationnel, un comportement normal et un comportement naturel ne sont pas adoptés par un État censé adhérer aux principes, aux règles et aux principes. et les comportements suivis par les pays du monde. .

L'idiotie et l'imprudence de la diplomatie algérienne avaient atteint un niveau avancé d'imprudence, de frivolité et d'ingérence dans les affaires intérieures de l'État français, lorsque le ministre des Affaires étrangères Ahmed Attaf, lors d'une conférence de presse, a menacé la France de mesures punitives à son encontre, déclarant que son Le pays travaillerait à conclure ce qui doit être conclu, dans le cadre de la réponse, sur la position française en faveur de la souveraineté du Royaume du Maroc sur ses régions du sud.. C’est le langage de la foule, et en aucun cas celui des diplomates.. Mais il en va de même pour la diplomatie algérienne, qui suit toujours l’approche déviante et erronée dont les fondements ont été posés par Abdelaziz Bouteflika, à l’époque sombre où l’Algérie prétendait diriger le groupe des pays non alignés et contrôler sa politique..

Le régime algérien, qui se présente comme un Etat indifférent de près ou de loin au différend régional sur le Sahara marocain, réitère sa chute dans le marais des contradictions, et prouve par des preuves concluantes qu'il est un régime concerné, complètement, et non partiellement, avec ce conflit qu'il a créé, insufflé son âme et adopté depuis le milieu des années soixante-dix du siècle dernier jusqu'à aujourd'hui.. Au moment où le gouvernement espagnol a déclaré sa position en faveur de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, il a adopté aujourd'hui la même position, en attaquant la France, en la menaçant et en retirant son ambassadeur de Paris, pour protester contre la nouvelle position forte et claire prise par le État français sur la question du Sahara marocain..

Le régime algérien est devenu une rébellion ouverte contre les règles auxquelles adhère la communauté internationale. Il s'agit d'un modèle d'insouciance morale, de folie diplomatique et d'imprudence politique qui menace la sécurité et la stabilité de la région, dans la mesure où il fait obstacle aux efforts. du Conseil de sécurité des Nations Unies pour mettre fin au conflit hérité d'une époque révolue et devenue une chose du passé..



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