Amina Bouayach, présidente du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), a été nommée à la tête de l’Alliance Globale des Institutions Nationales des Droits de l’Homme (GANHRI), au nom du continent africain. La candidature de la présidente du CNDH a été soutenue par le Réseau Africain des Institutions Nationales des Droits de l’Homme (RINADH), lors de son Assemblée Générale, tenue aujourd’hui au Siège des Nations Unies à Genève.
En janvier dernier, le RINADH a nommé Amina Bouayach à la présidence de l’Alliance. « En tant que Secrétaire de l’Alliance mondiale des institutions nationales des droits de l’homme, a fait preuve d’un leadership exceptionnel au cours des trois dernières années au cours desquelles elle a participé à la direction de l’Alliance mondiale », a souligné le Réseau dans une lettre. « Sa vaste expérience de représentation de l’Alliance dans les forums internationaux, son leadership stratégique dans la supervision des opérations clés et son engagement indéfectible en faveur de la promotion des droits de l’homme font d’elle la candidate idéale pour ce poste », indique légalement le RINADH.
A l’issue de l’AG tenue à Genève, Joseph Whittall, président du RINADH et Président en exercice de l’Institution Nationale des Droits de l’Homme du Ghana, a souligné le soutien total de l’Afrique à Amina Bouayach. « Nous avons voté massivement en faveur de cette nomination », a-t-il déclaré.