Il est prévu que la chambre de délit de la chambre de Tshaliya de la Cour de première instance commencera le matinE Lundi 28 juillet, en discutant d’un lourd dossier criminel lié à la contrebande de drogue internationale, dans laquelle cinq personnes, dont un élément de la gendarmerie royale avec le grade « Agoudan », soupçonné d’être impliquée dans un réseau criminel croisé.
Les défendeurs sont accusés de charges multiples et complexes, qui sont distribuées entre possession, transport et trafic international de drogue, ainsi que la formation d’un accord criminel pour commettre des crimes et des malheurs contre la santé publique, ainsi que la possession illégale de drogues et de substances psychotropes, qui sont des accusations contre l’accusé (A.A.).
Quant aux accusés (AA), outre les accusations susmentionnées, il est également poursuivi pour l’utilisation de feuilles de numérotation forgée, tandis que l’accusé (BM) est suivi afin de participer à la contrebande de drogue, au sucre public, à la conduite sous l’influence de l’alcool et au manque de conformité. (FS) et (K.M.) sont également soucieux de participer à des activités internationales de contrebande de drogues dans le cadre d’un réseau soupçonné de ses activités à l’intérieur et à l’extérieur du territoire national.
Les chapitres de cette affaire remontent au mardi 13 mai, lorsque la Royal Gendarmerie Authority au Territorial Center, Sidi al -Mukhtar, affilié à la région de Shishawah, a réussi à contrecarrer un énorme processus de contrebande pour une quantité de plus de quatre tonnes d’informations sur le médicament « Al -shira », après un embord d’embuscade qui a été mis en œuvre sur une importance sur des informations sur la sécurité spécialisées.
L’opération a conduit à l’arrestation de deux médicaments chargés de médicaments sur l’axe de la route reliant Sidi al -Mukhtar et la ville d’Essaouira, sur un chemin qui était susceptible d’être prêt à transporter l’envoi vers la côte atlantique, à l’horizon de la contrebande à travers les sentiers marins à l’extérieur.
Les enquêtes initiales ont permis l’arrestation de deux personnes dans le lieu, soupçonnées d’être liées au réseau pénal, où ils ont été emmenés au Gendarmerie Center afin d’approfondir les recherches sous la supervision du procureur public compétent. Les enquêtes ultérieures ont abouti à l’arrestation de trois défendeurs supplémentaires, notamment une gendarmerie qui occupe le rang « Agoudan », qui a ouvert la porte à l’élargissement du cercle de recherche pour inclure les fils de réseau et ses extensions potentielles.
Les autorités judiciaires s’attachent à la plus haute importance de ce dossier, étant donné son danger et l’entrelacement de ses données, en particulier à la lumière de la suspicion de complicité d’éléments réguliers avec des éléments criminels, ce qui constitue un défi supplémentaire devant les services de sécurité et de judiciaire soucieux de lutter contre le fléau de la contrebande de drogues internationales.
Il est prévu que les séances à venir assisteront à des développements importants, ce qui peut mettre en évidence la structure organisationnelle du réseau, ses méthodes de fonctionnement et les chemins logistiques adoptés dans les opérations de contrebande, ainsi que pour identifier le reste des personnes impliquées dans ce processus, qui est l’une des plus grandes grèves pré-puissantes contre les réseaux de médicaments au cours des derniers mois.