La Cour d’appel a confirmé les peines prononcées en première instance contre les trois gendarmes, rapporte le quotidien Al Akhbar, rappelant que les mis en cause avaient été condamnés à neuf ans de prison ferme et une amende individuelle de 100 000 dirhams, et à verser chacun 25 000 dirhams à l’ex-gendarme qui s’est constitué partie civile dans cette affaire.
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Les trois gendarmes, dont un adjudant à Aïn Aouda, étaient poursuivis en état d’arrestation pour leur implication dans une affaire de falsification de procès-verbaux. L’affaire remonte au début de l’année 2022, lorsqu’un gendarme relevé de ses fonctions a déposé une plainte contre des gendarmes à Aïn Aouda, les accusant d’avoir falsifié un procès-verbal et provoqué son placement en garde à vue pour consommation de drogues.
Au terme d’une enquête menée par les autorités compétentes, le pot aux roses a été découvert et l’implication de l’adjudant et de ses deux collaborateurs dans cette affaire, révélée.