Le Syndicat indépendant des médecins du secteur public a annoncé qu'il poursuivrait ses protestations pendant trois semaines avec des grèves nationales, une semaine de rage et des protestations de tous bords, estimant que « l'accord de juillet 2024, qu'ils ont refusé de signer, n'est rien d'autre qu'un simple accord ». un accord qui a été abandonné par inadvertance.
Le Syndicat Indépendant des Médecins du Secteur Public a décidé de lancer la semaine « Colère des médecins du secteur public », qui se poursuivra pendant la période du 25 novembre au 1er décembre 2024, accompagnée de manifestations régionales et régionales, en plus de l'arrêt de tous les examens médicaux dans des centres de diagnostic du 25 au 29 novembre 2024 et des cercles médicaux tout au long de la Semaine de la colère, en plus d'organiser des rassemblements publics locaux et régionaux en préparation du Conseil national.
Les médecins du secteur public ont également annoncé une grève nationale au cours de la troisième semaine, les mercredi et jeudi 4 et 5 décembre 2024, suivie de la convocation du Comité administratif et du Conseil national le samedi 7 décembre 2024.
Le syndicat a appelé à s'abstenir de délivrer des certificats de permis de conduire et à accorder tous types de certificats médicaux, à l'exception des certificats médicaux accompagnant le traitement, et à boycotter à la fois le programme « OSIX » et les programmes similaires, et à boycotter la campagne de santé scolaire en raison à l'absence de normes médicales et administratives minimales, et à boycotter les campagnes chirurgicales aléatoires qui ne respectent pas les normes médicales reconnues et les conditions de sécurité des patients.
Les médecins du secteur public ont également décidé de boycotter les convois médicaux, de boycotter tout travail administratif non médical, les rapports périodiques, les dossiers et statistiques du personnel, à l'exception de la déclaration des maladies obligatoires, en plus de boycotter les preuves administratives à l'exception des actes de naissance et de décès, et boycotter la couverture des manifestations qui ne remplissent pas les conditions énoncées dans la circulaire ministérielle.