Le 19 mai 2025, le Mohamed V Theatre Hall de Rabat a ouvert la première étape de l’exposition d’art « The Brothers of the Spirit in Water Colors », un événement exceptionnel qui rassemble quatre artistes du Maroc et de la Bulgarie dans un espace créatif qui célèbre l’esthétique des aquarelles et la pollution des cultures.
L’exposition a réuni une présence de haut niveau, en tant qu’ambassadeur bulgare au Maroc, M. Blam Tzolov, qui a indiqué dans son discours l’importance de cet événement au cours du mois culturel européen, soulignant qu’il établit le statut de l’art comme moyen de rapprochement et de communication entre les peuples. « L’ambassadeur de l’Union européenne au Maroc, M. Daniel Auto », a également parlé du soutien de l’Union européenne pour la diplomatie culturelle, soulignant son rôle efficace dans l’amélioration des valeurs de la paix, de la compréhension et de la tolérance mondiale, et exprimant l’importance de ces initiatives qui reflètent l’esprit humain de l’art.
Quant à « le professeur Idris Al -Qura », l’écrivain, la critique d’art et les valeurs de l’exposition, il a souligné le rôle historique du Maroc en tant que centre de fertilisation croisée, indiquant que le royaume a toujours été une terre de réunion entre l’Afrique, l’Europe et les mondes arabes et islamiques, ce qui a renforcé la richesse et la diversité de son identité culturelle.
L’exposition comprend des œuvres d’artistes marocains « Abdel Fattah Kerman » et « Abdel Hakim Al Husaynatin », ainsi que les peintures des artistes bulgares « Meline Avramov » et « Svetlin Sofronv », où leurs visions créatives convergent dans un espace conjoint qui reflète la harmonie artistique croisée.
Cette exposition, qui se poursuivra jusqu’au 26 mai avec le Mohamed V Theatre Hall, déménagera plus tard à la « Gallery » à Casablanca du 29 mai au 15 juin, pour donner au public marocain une opportunité plus large d’interagir avec cette expérience artistique unique.
Cette initiative artistique incarne la valeur des « aquarelles » comme un moyen expressif de cultures transitoires, où le pinceau frappe pour raconter des histoires sur la créativité et l’identité, dans un message qui incarne la « fraternité de l’âme » et confirme que l’art, de différentes méthodes et origines, reste toujours un langage commun qui rassemble des individus et des peuples.