Lors de la réunion du Conseil du gouvernement, dirigé par Aziz Akhenouch, le ministre de l’Éducation nationale, de l’éducation et des sports, Mohamed Saad Barrada, a examiné les développements de la réforme de l’éducation dans le cadre de la carte routière de 2022-2026, qui vise à améliorer la qualité de l’éducation publique et à améliorer l’efficacité du système éducatif.
Dans ce contexte, Barrada a révélé un progrès remarquable dans la généralisation de l’enseignement primaire, car le taux de généralisation a atteint plus de 80%, avec un plan visant à terminer cet atelier d’ici 2028, en adoptant un modèle de gestion innovant visant à garantir une éducation de haute qualité pour tous les enfants d’âge scolaire.
Au cours de sa présentation aux membres du Conseil gouvernemental, le ministre a également présenté les étapes avancées dans la création d’un nouveau modèle pédagogique au sein des « institutions de leadership », qui comprennent des fils d’éducation primaire et préparatoire, car le nombre d’écoles primaires couvertes par la réforme a atteint 2 626 écoles, en plus de 232 écoles secondaires préparatoires. Ce modèle a l’intention de mettre à jour les méthodes d’enseignement, de permettre aux élèves d’avoir l’apprentissage de base, d’améliorer l’environnement scolaire et d’améliorer les compétences de base des jeunes marocains.
The government presentation was not limited to the pedagogical aspects, but rather touched on the reforms related to school and vocational guidance, and the role of the second opportunity schools in re -incorporating those who are discontinued, in addition to group schools, which is a strategic option to overcome the challenges of schooling in the rural areas, and the minister also shed light on the centers of artistic and literary openness, which plays an important role in refining the skills of students and developing Their capacités créatives.
Sur l’aspect des ressources humaines, Barrada a examiné les développements du nouveau statut des employés du secteur national de l’éducation, notant que les réformes qui ont été approuvées visent à améliorer les conditions administratives et financières des professeurs et des cadres éducatifs, à attirer et à motiver les compétences marocaines pour s’engager efficacement dans le système de formation et l’enseignement.