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Arrêtez la chirurgie d’un patient sous anesthésie à l’hôpital d’Oujda, provoque une controverse

Arrêtez la chirurgie d’un patient sous anesthésie à l’hôpital d’Oujda, provoque une controverse


Science électronique – suivi -up

Le bureau exécutif du Morocain Center for Human Rights a inscrit une ligne de fait qui a suscité une controverse généralisée au University Hospital Center, Mohamed VI, à Oujda, où une intervention chirurgicale précise d’un patient souffrant d’une tumeur cérébrale a été arrêtée après avoir été placée sous anesthésie complète et liée au système de respiration artificielle, pour être remplacée par un autre patient.

Le Centre des droits de l’homme a appelé à l’ouverture d’une enquête indépendante et neutre sous la supervision des autorités de supervision compétentes, pour révéler toutes les personnes impliquées dans cette décision, et organiser des responsabilités et prendre les mesures disciplinaires et judiciaires nécessaires. The executive office also considered in a statement issued by it that this administrative intervention « constitutes a flagrant violation of the right to life and health, and is inconsistent with the Moroccan constitution, especially Chapter 20 which confirms that the right to life is the first rights guaranteed by the law, along with the laws regulating the health sector, such as Law No. 131.13 related to the practice of the medical profession, and Law No. 34.09 of the health system and the presentation of treatments, which stresses respect Les droits des patients et assurer l’indépendance de la décision médicale de toute intervention administrative.

Les données révélées par la coordination du Centre marocain des droits de l’homme dans l’Est ont confirmé que l’arrestation de l’opération n’était pas des raisons médicales urgentes, mais plutôt sur la base d’une décision administrative qu’il a décrite comme « suspecte », pour faire place à une intervention chirurgicale à un autre patient dont l’état ne nécessite pas d’intervention urgente. La déclaration a estimé que cette intervention « est une violation dangereuse de toutes les règles éthiques et professionnelles », ajoutant que la décision « a été prise en coordination entre le directeur de l’hôpital et le chef du département ENT, et à l’instigation d’un professeur au Département du cerveau et de la neurochirurgie, a été interrompu pendant plus de trois ans, et a récemment été relevé en société dans des conditions suspectes. »

Le bureau exécutif du Centre a tenu l’administration hospitalière entièrement responsable de cette transgression inacceptable et de toute complication de santé qui peut être attachée au patient, exprimant sa solidarité avec le personnel médical qui a dénoncé cette décision et exigeant qu’elle soit protégée de toute pression administrative illégale. Le ministère de la Santé a également appelé à une intervention urgente pour protéger les droits des patients, garantir le respect de l’éthique de la profession médicale et empêcher toute intervention administrative illégale dans les décisions médicales.

Le bureau des droits de l’homme a indiqué que cet incident « reflète une crise plus profonde que le système de santé souffre au Maroc, qui nécessite une réforme administrative complète qui garantit l’indépendance de la décision médicale, l’amélioration des mécanismes de surveillance et de responsabilité et d’activer un cadre juridique strict qui empêche les interventions administratives dans les décisions médicales et criminalise toute violation qui menace la santé des citoyens ».

Le Bureau a conclu sa déclaration en mettant l’accent sur « la nécessité de former un comité indépendant d’experts en médecine et en droit de la santé pour évaluer ces abus et proposer des solutions pratiques pour empêcher leur récidive, » soulignant que « ce dossier sera étroitement suivi, et n’hésitera pas à prendre toutes les étapes juridiques et juridiques nécessaires pour garantir que les personnes responsables de cette décision injuste soient tenues. »



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