Les autorités marocaines arrêtées entre samedi et la salle, des dizaines de jeunes hommes dans plusieurs villes, afin d’empêcher l’organisation des arrêts de protestation, qui ont été appelés par le groupe de jeunes « Zil Z 212 » afin d’exiger des réformes éducatives et sociales.
Dans la capitale, Rabat, le personnel de sécurité a empêché des groupes séparés de jeunes hommes de se rassembler à plusieurs moments du centre-ville, à l’invitation de ce groupe à exiger « la réforme du système éducatif et des services de santé publique ».
Des dizaines d’entre eux ont été arrêtés dans des endroits séparés, selon les médias locaux.
Ce groupe, qui est apparu il y a quelques jours à peine sur le site Web « Disorder », a appelé à démontrer dans plusieurs villes marocaines samedi et dimanche.
Des dizaines de ceux qui ont répondu à leur invitation samedi ont été arrêtés à Rabat avant que « tous ne soient libérés ».
L’Association marocaine pour les droits de l’homme et l’Organisation marocaine pour les droits de l’homme ont condamné ces arrestations, tandis que le gouvernement n’a pas encore émis de commentaires sur les événements.
Ce groupe se décrit comme un « espace de discussion » sur les « questions de préoccupation pour tous les citoyens tels que la santé, l’éducation et la lutte contre la corruption », soulignant le rejet de la « violence » et de « l’amour de la patrie et du roi ».
Il convient de noter que ces dernières semaines, le Royaume du Maroc a vu des manifestations dans des domaines distincts pour exiger en particulier l’amélioration des services de santé publique.