La propagation croissante des criquets dans la région de Maghreb est devenue des préoccupations croissantes dans les cercles marocains, en particulier après les rapports reçus concernant l’invasion de cet insecte détruit aux régions de la Libye, qui menace sa possibilité d’atteindre le territoire marocain, et les effets graves du secteur agricole, qui constitue un territoire fondamental de l’économie nationale.
Selon les données de l’Organisation internationale pour le contrôle des criquets du désert, les essaims qui ont envahi la Libye proviennent de zones de la côte africaine, bénéficiant des conditions climatiques appropriées pour leur reproduction rapide et se propage, révélant que la transmission des criquets dépend de plusieurs facteurs, notamment la direction de ses changements éoliens et climatiques, qui fait du marcco dans le cercle de la probabilité, en particulier à la lumière de sa géographique géographique pour le cercle de la probabilité.
Les experts marocains ont peur de l’arrivée de ces essaims des criquets qui ont frappé la Libye au Maroc, car cela peut constituer une menace sérieuse pour la sécurité alimentaire, étant donné leur capacité à détruire les cultures agricoles en temps record. Les zones les plus vulnérables incluent Souss Massa, le sud-est et les oasis, qui sont célèbres pour produire des dates, des légumes et des fruits. De plus, les dommages des pâturages naturels peuvent entraîner des prix élevés des aliments, ce qui affecte négativement le secteur de l’élevage.
Dans ce contexte, le ministère de l’agriculture, de la pêche maritime, du développement rural, de l’eau et des forêts s’efforce d’intensifier les opérations de surveillance de l’air et du sol, pour surveiller tout mouvement possible de criquets dans les zones frontalières, et a renforcé la coopération avec les organisations internationales compétentes, en particulier l’organisation alimentaire et agricole (FAO), pour échanger des données et adopter des plans proactifs pour lutter contre les locaux et l’organisation agricole.
Il est à noter que le Maroc avait déjà fait face à des invasions similaires aux criquets les années précédentes, notamment la vague de 2004, ce qui a causé de lourdes pertes pour les agriculteurs. Le royaume à l’époque a réussi à réduire les dégâts par le biais de campagnes de pulvérisation aérienne et de programmes de contrôle intenses.