La dernière position exprimée par l’ancien président de l’Afrique du Sud, Jacob Zuma, du cœur de Rabat sur le Sahara marocain, après la pénétration claire du Maroc pour l’un des bastions les plus forts soutenant les séparatistes du Polisario, un coup douloureux à la fois à l’Algérie et à l’état d’illusion.
A step that found the papers of both the Polisario and its manufacture of Algeria after they lost some traditional allies in Africa, so the Algerian authorities were not in front of the speed of sending envoys to Pretoria, where well -informed sources reported that this move that the Eastern neighbor made is motivated by fear and confusion at the same time, so the envoys were sent to evaluate the repercussions of this position with representatives of the African National Congress Party, qui est dirigé par Cyril Ramafuza.
L’Algérie a déménagé au cours de ses romans faibles, qu’il représentait quotidiennement et diffuse par « Takaq al -askar », qui a peur que ce soutien affecte la reconnaissance par l’Afrique du Sud de la « République Illusion », qu’elle a déclaré en 2004, en particulier à la lumière des différences au sein de l’Alliance gouvernementale à Pretoria depuis juillet 2024.
Peur qui a également contribué à sa propagation, tendant les relations entre l’alliance démocratique et le Parti du Congrès national africain, en particulier après le rejet du président Cyril Ramafuza au ministre du Commerce, Andrew Witfield, membre de l’alliance démocratique, en raison d’un « voyage non autorisé à l’étranger ». En réponse, le parti a boycotté le « dialogue national » que le chef de l’État a initié. Dans ce climat politique tendu, un effondrement de l’autorité exécutive ou des premières élections législatives ne peut être exclue.
Depuis le retour du Maroc à l’Union africaine en janvier 2017, l’Algérie a été témoin du départ de certains de ses alliés traditionnels qui soutiennent le mouvement séparatiste sur le continent, comme la Zambie et le Ghana. Alors que d’autres pays africains ont conservé leur reconnaissance du « Polisario », mais ils ne montrent plus le même enthousiasme pour défendre les positions avant du Polisario sur la scène continentale, et le Rwanda, le Nigéria, l’Éthiopie et l’Angola en sont des exemples clairs.
Dans ce contexte, Abdel -fattah al -Balihshi, professeur de relations internationales à l’Université Al -qadi Ayyad à Marrakech, estime que la position de M. Zuma ancien président de l’État d’Afrique du Sud et le chef du «résumé de la nation» exprime actuellement un fait clair et explicite, déclarant que pour la première fois, une voix est absente dans le cadre du partisan et de la première fois pour le Morocc Sahara en considérant l’initiative de l’auto-Rulle le seul moyen de ce conflit.
Dans une déclaration à « Al -Alam », Al -balumashi a apporté à « Al -Alam » que le parti dirigé par Zuma a obtenu des résultats importants en une courte période, ce qui exprime qu’il est de l’avenir pour être un nombre fondamental dans le futur de la vie politique dans le pays, ajoutant que Zuma est non seulement un politicien et un homme d’État et un symbole de l’antima dans la période de libération, mais aussi de la pensée et de la charité de la chariot de la charité de la période de libération, mais aussi de la pensée et de la charité de la chariot de la chariot de la période à la fin de la période de libération, mais aussi de la pensée et du chariot de la charité de la chariot de la charité de la période de libération, mais aussi de la pensée et de la charité de la Chariot de la Chariot de la période de libération, mais aussi de la pensée et de la charité de la Chariot de la Chariot de la Force de la Libération, mais aussi de Héir Nelson Mandela, et cela est d’une grande importance car la société est en Afrique du Sud. L’importance de ce type de symbole politique.
Le professeur de relations internationales à l’Al -Qadi Ayyad University à Marrakech a expliqué que le nouveau poste reflète le côté officiel de l’Afrique du Sud, car il n’est plus le même soutien à l’Algérie, en particulier après l’approbation de pays équilibrés tels que les États-Unis d’Amérique, la Grande-Bretagne, la France et l’Espagne dans le Sahara du Moroccan.
Il a poursuivi: « Ce qui indique ce que j’ai mentionné plus tôt, c’est l’échec du gouvernement Pretoria à condamner ces déclarations, au contraire, il y a une lecture attentive de ce qui se passe et se passe dans le gouvernement sud-africain, qui n’a pas bougé le doigt devant ces développements. »
In the end, he pointed out that South Africa has a direct interest in rapprochement with Morocco, as both of them are on the pyramid of investment in Africa and there is competition from outside the continent and must be confronted, in addition to the royal strategic initiatives in the Atlantic institutionalization and Morocco’s achievement of a solid infrastructure in the banking sector, services, communications and phosphate, considering at the same time that they are Toutes les choses qui font penser à l’Afrique du Sud à l’avenir et dans le développement plutôt que la logique politique que l’Algérie le traîne.