Compte tenu de l’escalade d’un sentiment de marginalisation et de la détérioration des conditions sociales, les journalistes marocains ont recours à l’arme de protestation comme un moyen légitime pour défendre leurs droits professionnels, et pour protéger leur dignité, qui est devenue menacée par l’échec des testaments, y compris l’Union nationale de la presse marocaine. Et le manque de remplissage de ses obligations, dont la première est la mise en œuvre de l’accord social rétroactivement et la signature immédiate de l’accord collectif.
Cette escalade survient à un moment où les travailleurs et les travailleurs du secteur de la presse écrits et électroniques vivent dans des conditions professionnelles compulsives et difficiles, en raison de la fragilité du travail, des mécanismes de protection sociale faibles et des bas salaires dans un certain nombre d’institutions, ce qui leur a fait sentir que la poursuite du silence n’est pas une option possible, et que l’expression du terrain est le seul moyen de déplacer l’eau stagante.
Les journalistes de signature de la pétition, dirigés il y a deux semaines, ont fait appel au ministère du testament sur le secteur et le syndicat, tous les collègues et collègues ouvriers et travailleurs du secteur de la presse (journalistes, photographes et techniciens, … Syndicat piégé.