Les voix critiques à l’intérieur des camps de Tindouf, au milieu d’une division nette entre les rangs du leadership du Front Polisario, ont été rejetées dans le contexte de la détermination de la date de la prochaine conférence de l’organisation, après l’échec de la dernière réunion tenue par le leadership il y a deux semaines pour parvenir à un accord clair sur la préparation de cette station organisationnelle.
La session du Secrétariat national a défini un échange vif d’accusations entre ses membres, qui ont exprimé leur insatisfaction à l’égard de la continuation de la même approche, il y a des années, qui a été décrite comme incapable de renouveler et son manque de vision de réforme. Ce ressentiment a trouvé une large résonance parmi les militants des camps, qui a signé une pétition collective appelant à la responsabilité du leadership et accélérant la tenue de la conférence en fonction de ce qui est stipulé dans la loi fondamentale du front.
Dans le même contexte, de solides déclarations ont été publiées par l’un des membres du Secrétariat national dans lequel il critique la performance du leadership, soulignant l’absence de tout plan clair, en parallèle avec le retour du juge Moulay Abahida vers le premier plan, après que le front du front lui ait déjà expulsé en raison de son acquis Mahmoud Zian, qui fait partie des pays européens, à être libéré en 2019 après avoir passé plusieurs mois à la prison d’Al-Dhahabah.
Judge Moulay Abahida sparked the controversy again with a legal statement in which he considered that the decision to postpone the conference lacks legal legitimacy, based on that to Article 44 of the Basic Law of the Front, issued by the sixteenth conference, which provides for the conference every three years in a regular session, with the possibility of postponing it only once for a period not exceeding one year, at the request of the Secretary -General or the National Secretariat, and avec l’approbation de deux tiers de ses membres.
Abahida a expliqué que ce texte est considéré comme une règle de commandement et de contrainte, et ne laisse pas un domaine pour l’interprétation ou l’extension ouverte, soulignant que tout retard dépasse l’année qui perd les structures organisationnelles de sa légitimité et rend ses décisions vulnérables au défi du manque de conformité de la loi interne du front.
Ces données confirment la profondeur de la crise organisationnelle que le Polisario traverse, à la lumière de l’écart d’élargissement entre le leadership et sa base, et les cas croissants de grognement populaires en raison du chaos de sécurité et de l’aggravation des tensions sociales à l’intérieur des camps. Cette situation est considérée comme l’un des plus grands indicateurs de rift interne, qui menace l’unité et la cohésion du leadership, et place la légitimité de l’avant en jeu.