« Nous allons immédiatement commencer un programme à court terme pour réduire les dépenses » dans le but de « économiser environ deux millions d’euros » d’ici la fin de l’année 2025 « , a déclaré Fabrice Feris, président de France Presse, dans une vidéo.
Il a souligné que pour l’année 2026 « l’objectif sera beaucoup plus élevé », car il est nécessaire de « fournir entre 10 et 12 millions d’euros ».
Il a poursuivi: « Cela ne sera pas réalisé à moins que nous ayons développé notre organisation, notre structure et nos méthodes de notre travail (…) sans ralentir nos investissements. »
« Les nouvelles que j’annonce sont mauvaises (…), mais je sais que l’agence est en mesure de se lever », a déclaré Faris.
Il a souligné qu’après sept ans de croissance continue, les « revenus commerciaux » diminueront cette année pour l’AFP d’environ 8 millions d’euros par rapport aux attentes budgétaires.
Il a souligné que ce « déclin » a plusieurs raisons.
Premièrement, «l’anticipation économique mondiale associée aux problèmes de récession».
Deuxièmement, des décennies sont annulées en raison de la «pression» pratiquée par les «gouvernements autoritaires ou populistes» de l’agence d’agence d’agence.
À cet égard, il a souligné l’annulation de Mita (Facebook, Instagram et WhatsApp) son programme pour enquêter sur les nouvelles aux États-Unis, dans laquelle la France-Presse a participé, et la « fin soudaine » du contrat avec la radio vocale générale américaine que l’administration Trump cherche à démanteler.
En ce qui concerne l’interprétation récente de la diminution des revenus, c’est que la presse de l’Agence France « a certainement exagéré sa capacité à rendre ses droits de propriété intellectuelle reconnus et récompensés » par des « entreprises technologiques ».
À plus grande échelle, Faris a attribué ce « déclin continu » à la détérioration des clients d’Agence France -Presse des médias qui ont été affectés par les nouvelles utilisations numériques avec « des progrès incroyables dans le domaine de l’intelligence artificielle ».
L’Assemblée de l’Union CIG / SN JN / SUD / F / CFOCC a confirmé que les « voies initiales » seront annoncées pour réduire les dépenses lors d’une réunion du conseil d’administration, avant une réunion du comité social et économique le 11 juillet pour discuter des détails.
Dans un communiqué, les syndicats ont promis de « déménager pour défendre les emplois et les conditions de travail qui permettent à Agence France -Press de poursuivre leur message pour fournir une presse à haute qualité ».
Elle a souligné qu’elle entreprendrait la « tâche de rencontrer des parlementaires et de sensibiliser afin que la plus grande agence de presse autre que anglo-saxonne au monde ne commence pas un déclin dévastateur », après sa récente célébration des années 80 de sa fondation.
En 2024, Agence France -Press a réalisé un bénéfice net de 200 000 euros, et son volume de revenus a atteint 326,4 millions d’euros.
En plus de ses revenus commerciaux, l’agence reçoit une compensation du gouvernement français pour les coûts liés à ses tâches d’intérêt public (118,9 millions d’euros en 2024).
Agence France Presse est l’une des trois agences de presse internationales aux côtés de l’Associated Press et de l’agence Reuters.
L’agence utilise 2 600 collaborateurs de 100 nationalités et fournit des nouvelles de six langues.
L’agence est gérée par un système spécial, car ce n’est pas une entreprise publique, et elle n’a pas d’actionnaires, et ses clients, y compris le gouvernement français, sont membres de son conseil d’administration.